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Soulières éditeur
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Les yeux noirs
Gilles Tibo
- Soulières éditeur
- Ma petite vache a mal aux pattes
- 15 Juin 2016
- 9782896073757
Je m'appelle Mathieu.
Je n'ai jamais peur dans le noir parce que je suis toujours dedans. J'ai caché des yeux partout. Dans mes mains, dans mes pieds... et surtout dans mes oreilles. Cette semaine, mes parents me font une surprise. J'ai hâte de voir ce que c'est !
Après avoir lu l'histoire de Mathieu, vous ne verrez plus le monde de la même façon. Vous verrez la vie « avec les yeux du coeur ».
Édition 2012 - Nouveau format -
« - Quel est le titre du meilleur livre que t'as lu de ta vie ? m'a demandé le clochard.
- J'aime pas ça lire.
- C'est faux, a-t-il eu le culot de rétorquer.
Selon lui, j'aimais la lecture. Je l'aimais même à la folie. Le problème, c'est que je ne le savais pas encore. L'étrange bibliothécaire s'est mis à fouiller dans son chariot de livres et m'en a remis un entre les mains : Le livre maudit.
- Méfie-toi. Ce bouquin est malin. Il a
plus d'un tour dans son sac ! »
« En théorie, les livres sont faits pour être lus. Pas celui-ci. Sois sage, repose-le où tu l'as pris et sauve-toi. » -
La saison de basket de fred
Poupart Roger
- Soulières éditeur
- Chat de gouttière
- 16 Octobre 2016
- 9782896073900
Frédéric Sicard, 6e année, 12 ans, 1,77 mètre. Mais ça sert à quoi, au juste, d'être grand ? Se cogner la tête contre les plafonds trop bas ? Agacer les plus petits que soi ? Eh bien non, ça sert à être bon au basketball !
Et Fred n'est pas seulement bon, il est le meilleur de l'équipe... Jusqu'au jour où le grand Willis débarque dans le gymnase de son école. Fred en perd tous ses moyens.
Même la belle Geneviève ne le reconnaît plus.
Mais Fred comprendra-t-il que le basketball est un sport qui se joue mieux en équipe ? -
« Le journal ne mentionne nulle part le billet qu'ils ont laissé pour signifier que c'était un emprunt.
- Nous voilà dans de beaux draps, lance Vincent. »
« Charles et Vincent dévalent les escaliers aussi vite qu'ils le peuvent. Dans sa course, Charles protège du mieux qu'il peut son précieux butin.
Courir, sortir au plus vite du musée : tel est l'objectif. Ne jamais regarder en arrière pour ne pas perdre de temps.
Fuir. Courir à bout de souffle. À toutes jambes. Enfin, le hall d'entrée. Une victoire. Une dernière porte et c'est la rue Sherbrooke et trépidante animation.
La porte s'ouvre. L'alarme retentit effroyablement... » -
« - Maman, il est où le bonheur ?
- Écoute... tu entends ?
- Quoi ?
- Est-ce que tu entends un bruit ? Mais un très très grand bruit ?
- Non.
- Alors, c'est que le bonheur est ici. Je ne comprends rien à ce que ma mère raconte. J'accepte son bisou sur ma joue. Je note qu'elle se lève sur le bout des pieds. Je suis plus grand qu'elle. Normal. Je suis un homme. J'ai quinze ans.
Le docteur dit que, dans ma tête, j'ai six ans.
En ce cas, comment se fait-il que je sois en première secondaire, hein ? »
o
« - Pourquoi on t'appelle " pacom" ? demande Chloé.
(...) C'est Romain qui réplique à ma place.
- Parce qu'on dit de lui qu'il n'est " pas comme" les autres. C'est aussi niaiseux que ça. » -
Vendredi, jour de defi
Danielle Simard
- Soulières éditeur
- Ma petite vache a mal aux pattes
- 16 Décembre 2014
- 9782896073207
« -Tu pleures pour rien Gabrielle, déclare Steve. Julien va aller te le chercher.
Hein, Julien ? Après tout, c'est le foulard de ta blonde.
Ah... Mais non, j'oubliais... Tu es bien trop peureux !
Je m'en vais rétorquer que ça n'a rien à voir avec la peur. Qui serait assez fou pour s'aventurer sur un tronc d'arbre, à des mètres au-dessus d'une rivière démontée ? » -
Napoleon ratte, le conquerant du mont chapeau
François Barcelo
- Soulières éditeur
- Chat de gouttière
- 16 Décembre 2014
- 9782896073061
« - Mais je te promets une chose, ajoute Lisandru : je vais faire l'escalade du mont Chapeau dès cet été.
Napoléon doute que son grand-père soit capable de faire une pareille escalade. Peu de gens sont montés jusqu'en haut. Surtout, personne de cet âge. Il a entendu parler d'un passage particulièrement difficile, qu'on a surnommé « la coulée de la mort » même s'il ne s'y est jamais tué personne.
C'est une montée abrupte remplie de cailloux qui ont tendance à débouler en vous entraînant avec eux vers un précipice. (...) »
« Pour la première fois, Napoléon songe qu'il va peut-être mourir en même temps que son grand-père... » -
Gardien de buts talentueux, Charles Sabourin ne r?ve que dune chose : rencontrer Patrick Roy, son idole. Lors dun tournoi, loccasion se présente, mais Charles est cloué au lit avec une fi?vre de cheval et le gardien de but est échangé au Colorado. Son r?ve sévanouira-t-il ?
Sachant que son héros visitera des enfants malades de lhôpital Sainte-Justine, dans le temps des f?tes, Maxime et Eunice, ses amis, lui proposent un plan infaillible pour quil rencontre son idole : feindre la maladie pour quon lhospitalise.
Sils avaient pu prévoir la suite des événements, peut-?tre que les trois amis nauraient pas provoqué le destin. Une fois hospitalisé, ? la suite de tests quon lui administre, on découvre quil est atteint dun cancer.
Bruni Surin, le vieux forum de Montréal et lhôpital Sainte-Justine sont aussi au coeur de cette histoire troublante. Charles m?nera une lutte acharnée contre la maladie, il croisera lamour et la mort. Un duel cruel entre les r?ves et la réalité. -
« depuis je suis cet ange du langage qui roule au sol les bras en hélices je dévale cette petite pente de gazon qui s'échappe tranquillement de l'hiver l'âme devant le corps et les mains qui s'absentent un moment pour retenir le visage le temps que tout se calme tu sais je continue de marcher derrière la maison jusqu'au ruisseau comme nous le faisions aussitôt que la neige commençait à fondre »
« le chagrin est mort en bas de la porte juste devant notre entrée devant la maison avec tout ce qui est bien et mal en même temps » -
Je voudrais etre un arbre
Moore Carole
- Soulières éditeur
- Ma petite vache a mal aux pattes
- 16 Décembre 2014
- 9782896073047
« Charles voulait être pompier. Nadine voulait être infirmière. Louis voulait être un inventeur. Il voulait inventer un lit qui ferait peur aux monstres la nuit. Le rêve de Sophia était de devenir dentiste, comme sa mère.
En écoutant les autres réponses, je me suis dit que j'avais mal compris la question. Il a fallu que Sejima insiste.
- Jonathan, est-ce que tu sais ce que tu voudrais être quand tu seras grand ?
J'ai regardé tout le monde autour de moi avec un grand sourire, parce que je savais que tout le monde allait trouver ma réponse idiote.
- Un arbre, ai-je dit. Tout le monde a éclaté de rire. Moi aussi. C'est vrai que c'était amusant, même si ce n'était pas voulu.
- Quoi ? Tu veux être un arbre ? m'a demandé Sejima avec de grands yeux. » -
La forme floue des fantomes
Camille Bouchard
- Soulières éditeur
- Graffiti
- 16 Décembre 2014
- 9782896072941
« - Je suppose donc que tu ne crois pas aux fantômes ? insiste Voyer.
- Pas une miette.
- Alors, je te défie de dormir une nuit entière dans la maison des Turgeon- Hébert.
- C'est quoi, cette gageure pour débiles ?
- Tu te défiles ? Tu as peur d'avoir peur ?
- Contrairement à toi et à ta bande d'arriérés, Voyer, j'ai passé l'âge des enfantillages.
- Tu te penses supérieur à tout le monde avec ton cerveau d'Einstein mal cloné alors, on t'offre la possibibilité de prouver que les profs de sciences ont raison de te considérer comme un génie.
- Je n'ai rien à te justifier, Voyer. »
« - Anoushka ! lance tout à coup l'une des copines de Sarah. Les gars parlent d'aller à la chasse aux revenants dans la maison que tes parents veulent acheter ! » -
La machine a mesurer l'amour
Johanne Mercier
- Soulières éditeur
- Graffiti
- 16 Décembre 2014
- 9782896073023
« - Je t'aime, Jeanne Blanchet. La déclaration, bien qu'un peu concise pour ceux qui préfèrent les grandes envolées romantiques, avait le mérite d'être limpide.
La belle, toujours dans l'embrasure de la porte, étonnée par la visite impromptue de François Métivier, avait d'abord plongé ses yeux dans les siens. Puis, sans prononcer un mot, elle avait reculé de trois pas et lui avait claqué la porte au nez.
Ce qui était plutôt limpide aussi. Métivier n'a pas bronché. Et quand Jeanne a rouvert deux heures plus tard, il était toujours là, sur le balcon, à l'attendre. »
« - Je t'aime mille fois plus que Bobby ! avait affirmé Métivier dans un dernier baroud d'honneur.
- Comment peux-tu en être si certain ? » -
La saison fabuleuse d'abby hoffman
Bergeron Alain M.
- Soulières éditeur
- Graffiti
- 17 Mars 2013
- 9782896071760
« -Tu... tu t'es inscrite ? Comment as-tu fait ?
Je lui résume l'histoire de la veille.
- Ab Hoffman ? répète Susie, incrédule. C'est un prénom de garçon ?
- En tout cas, ça l'est davantage qu'Abby ou Abigail.
Mon amie regarde autour d'elle pour être sûre que nous ne sommes pas épiées.
- Les garçons ne sont pas des idiots, du moins certains d'entre eux. Ils s'apercevront vite que tu n'es pas l'un des leurs.
Mon argument est préparé.
- Ma mère a promis de me couper les cheveux très courts, ce soir. »
« Si on découvre mon secret, je suis convaincue que l'on m'expulsera immédiatement de la ligue.
Une fille qui joue au hockey avec des garçons, ça ne se fait pas, malgré notre société moderne des années cinquante. » -
« Sur le siège arrière du taxi, Annie entend Jay pousser plusieurs jurons en effectuant un virage sur les chapeaux de roues. Sorti en trombe du stationnement de l'école, il fonce à plus de cent à l'heure sur la rue Santerre, oubliant les arrêts. Lancée à sa poursuite, la Buick roule à la même vitesse.
- Cette fois Randy, dit en anglais le conducteur à l'autre homme, il ne nous échappera pas ! »
- Ce matin-là, quand Jay est pris en chasse par deux individus, Annie, encore à bord, n'a pas d'autre choix que de suivre.
Qui sont-ils ? Des policiers ou des bandits ?
« - Mais ne peut-on pas retourner à la maison ? Ou à mon école ?
- J'ai peur que non, Annie, répond Jay. Trop dangereux. » -
Ding, dong ! 97 clins d'oeil a raymond queneau 2e ed. revue et au
Robert Soulières
- Soulières éditeur
- Graffiti
- 27 Septembre 2016
- 9782896073894
« J'aimerais ça lire quelque chose d'exactement pareil à ça genre style comme. C'était tellement bon ! »
Combien de fois ai-je entendu cette phrase lorsque je signais des milliers de livres dans les Salons du livre de Paris, Moscou, New York, Singapour, Sorel ? Combien de fois ? Ah ! Que ne ferait pas un écrivain pour plaire à ses lecteurs !
Alors, voici enfin votre chance ! Elle est entre vos mains, saisissez-la (ainsi que le livre en même temps !). Grâce à ce bouquin, vous avez l'occasion inouïe et extraordinaire de lire la même histoire et ce, 97 fois plutôt qu'une !
Une chance qui ne se répétera pas de sitôt. Quel festin ! Ça sent déjà le chocolat !
Réédition 2013 - Nouveau format dont 20 textes inédits
1ère parution en 2005 - ISBN 2-89607-020-6 / EAN 9782896070206 -
Le renard apprivoise
Alain Stanké
- Soulières éditeur
- Ma petite vache a mal aux pattes
- 3 Mai 2016
- 9782896073733
« Au premier croisement de nos regards, j'ai su que nous serions amis pour longtemps.
Je lui ai tout de suite trouvé un nom : Riki. Il a semblé l'accepter sur-le-champ.
Mon nouvel ami était plus câlin qu'un gardien, qu'un chien. Il était les deux à la fois.
Enjoué et affectueux, il n'a pas tardé à changer le cours de ma vie qui, grâce à sa présence, n'a plus jamais été la même. »
« Riki, le renard, est né dans un petit petit zoo aménagé au coeur du parc Lafontaine à Montréal. » -
Moi, zebre bouchard
Repentigny Myriam De
- Soulières éditeur
- Ma petite vache a mal aux pattes
- 30 Novembre 2014
- 9782896073313
« Quand je me présente, les gens rient et, jusqu'à maintenant :
- 483 personnes m'ont dit que mon prénom était un nom d'animal
- 74 m'ont demandé comment j'avais fait pour m'échapper de la savane
- 56 ont ri et ont dit : « Ah oui? Moi, c'est Éléphant » ou encore « Enchanté, je me nomme Kangourou! ».
Vous riez, hein? Hé bien, je vais vous dire quelque chose : ce n'est pas drôle du tout ! » -
« DIMANCHE 25 JANVIER Je n'en peux plus de passer mes nuits à guetter les loups. Je ne veux plus subir mais agir. J'ai vu des traces de raquettes ce matin. Des traces récentes. Dans un sac à dos, j'ai mis la hachette, mon journal et deux jours de vivres. Je compte partir dès le lever du jour. Je me donne la journée de demain pour trouver où elles mènent. »
Des diamants sous la neige, une aventure des plus dépaysantes dans la splendeur hostile et magique du Grand Nord québécois. Un bijou de lecture ! -
Le petit ecrivain
Gilles Tibo
- Soulières éditeur
- Ma petite vache a mal aux pattes
- 9 Janvier 2016
- 9782896073436
« J'essaie d'écrire. J'essaie d'écrire à l'encre, à la mine, au crayon feutre. J'essaie d'écrire dans ma chambre, sur mon bureau, dans mon lit. J'essaie d'écrire dans le salon, sur la table de la cuisine. Il ne se passe rien. Ma feuille reste blanche. J'attends l'inspiration. »
Jérôme veut devenir écrivain. Où se cache l'inspiration ?
Gilles Tibo a écrit une histoire qui ressemble à la sienne. Comme lui, Jérôme a fini par trouver un trésor. -
Les recettes de ma mere
Tremblay Alain Ulyss
- Soulières éditeur
- Ma petite vache a mal aux pattes
- 4 Mars 2015
- 9782896072897
« Un jour, Ronnie est venu à l'école sans boîte à lunch. J'avais dans la mienne deux pains farcis aux olives de zèbre et au pâté de musquarin. Je lui en ai tendu un.
- Il y a de la moutarde de mort ? a-t-il demandé.
- Non, juste du ketchup de racines d'autruche.
Ronnie a encore hésité, puis il a pris une bouchée... »
Tout le monde voudrait que ce soit la mère de Benito qui prépare les plats pour la fête à l'école ? -
« - C'est pourquoi j'ai couru le risque de venir jusqu'ici. Ma décision est prise.
Si tu le veux, ma mie, nous partirons demain... Nous partirons pour n'importe où, pour un lieu où nos pères ne mettront pas d'entraves à notre amour. »
Voici l'histoire d'un amour secret et interdit entre Anne et Godefroy, deux jeunes de quinze ans appartenant à des familles ennemies.
Cette histoire transportera le jeune lecteur au Xlle siècle, au temps des chevaliers et des seigneurs, mais aussi au temps où l'honneur et la bravoure étaient de durs conseillers.
Édition 2011 (1ère parution en 2000) - Nouveau format -
Le fantome de boucherville
Daniel Mativat
- Soulières éditeur
- Chat de gouttière
- 13 Février 2017
- 9782896074044
« Angus poussa un cri. Son effroi n'en fut que plus grand et, dans l'état de panique qui le saisit, il ne trouva rien de mieux que de se dissoudre dans l'air et de trouver refuge au fond de sa bouteille vide de whisky.
- Vite ! Mets le bouchon ! s'écria une voix.
- C'était une sacrée bonne idée le truc de la musique au max et des lampes sous le menton. Tu as vu la peur bleue qu'on lui a faite. On l'a attrapé comme un papillon dans un bocal.
Ces deux chasseurs de fantômes évidemment n'étaient nul autre que les deux jumeaux joueurs de tours, Denis et Robert.
- Ouais, on n'a plus qu'à le cacher dans nos valises et le ramener chez nous. Imagine la tête des copains de la rue, à Boucherville, quand on leur apprendra qu'on a capturé un vrai fantôme ! » -
« Tout à coup, la porte s'ouvre en produisant une lumière aveuglante. Un courant d'air froid fait descendre la température de la pièce de dix degrés.
Une odeur de renfermé embaume l'air ambiant. Maxime sent ses pieds quitter le sol. Il attrape sa soeur par la main et la presse contre lui. Un immense vent se lève et aspire les deux jeunes. Le tout dure plusieurs secondes, puis s'arrête aussitôt, alors que la porte se referme d'un trait.
Max jette un coup d'oeil devant lui. Un immense pot de cornichons lui obstrue la vue. Sur le sol, un grillage énorme et glissant lui permet de voir l'étage inférieur. Ils doivent faire attention de ne pas tomber entre les barreaux de la grille. »
o
« - Canapé, chuchote Maxime à l'oreille de son ami, c'est moi ! On vient te sortir d'ici. » -
« [20 h 20] Je dis peut-être « mon amour » pour la dernière fois en parlant de toi. Je le dis et j'ai toutes ces images en tête. Notre bonheur à deux. Les moments beaux. Ceux que personne ne peut renier. Il n'y a pas que nos yeux qui en furent témoins. Il serait facile de penser que le vent tout autour est venu à bout de notre amour, mais c'est nous deux qui en sommes venus à bout cette fois. Ce que tu es. Ce que je suis. Nous deux séparément. Nous avons mis un terme à l'artifice parce qu'en dernier ce n'était presque seulement que ça, un combat maquillé en beauté. »
o
« Dans les entrailles des derniers jours avec elle, j'avais entrepris l'écriture d'un journal. Un journal de bord, pour tenter de me recentrer (...)
Tenter de mieux me comprendre. Je l'ai tenu tout le mois de septembre. Même après elle. »