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Quelquefois, ils leur pardonnent
Carl Nixon
- Editions de l'Aube
- AUBE NOIRE
- 2 Février 2024
- 9782815954785
Été 1979. Pat Waters décide de vendre la ferme familiale située sur la péninsule de Banks, au sud de Christchurch. Instantanément, la vie de sa famille bascule. À New Brighton, Pat investit tout son argent dans une affaire immobilière hasardeuse et tombe dans l'alcoolisme. Marika, sa femme, s'enfonce peu à peu dans la dépression et se suicide. Devenu violent, Pat perd rapidement la garde de leurs trois enfants : Mark, le sportif accompli ; Davey, le beau rêveur ; et Samantha, la plus jeune de la fratrie.
Ce roman à rebours en vingt et une histoires raconte le destin de cette famille et en dresse un portrait sombre et envoûtant.
Carl Nixon est né en 1967 à Christchurch, en Nouvelle-Zélande, où il vit toujours. Auteur de nouvelles récompensées, il se consacre désormais à l'écriture de romans noirs. L'Aube a déjà publié Sous la terre des Maoris, Rocking Horse Road et Une falaise au bout du monde. -
La route de tous les dangers
Kris Nelscott
- Editions de l'Aube
- AUBE NOIRE
- 1 Février 2018
- 9782815927314
La communauté noire de Memphis est à cran. À quelques semaines de l'assassinat de Martin Luther King, le détective privé Smokey Dalton pressent le pire. Alors que la ville est sous tension, Laura Hathaway, jeune femme blanche de bonne famille, débarque dans son bureau. Elle voudrait comprendre : comment sa mère a-t-elle bien pu lui laisser une partie de son héritage, à lui, un « nègre » ?
Kris Nelscott (pseudonyme), née en 1960, a été récompensée par de nombreux prix. Son oeuvre est traduite dans une quinzaine de langues. À couper au couteau est le premier volume d'une série consacrée au personnage de Smokey Dalton, initialement publiée à l'Aube avant d'être reprise par Points. En 2018, l'Aube reprend cette série depuis le début et poursuivra avec les titres inédits. -
"L'humour grinçant n'égratigne pas la tradition d'une série noire digne de la littérature comme on l'aime", écrivait Jean-Luc Douin dans Télérama lors de la parution de Minuit à Copenhague. Ici, "tout commença par la sonnerie du téléphone, qui me réveilla."Allô ?" Une entame pas vraiment géniale, ni particulièrement originale. Mais on raconte que c'est Edison lui-même qui l'a prononcée pour la première fois : à tout prendre, je suis donc les meilleures traces qui soient."Triste et seul, un journaliste noie sa mélancolie dans la musique, la fumette et le whisky. Mais un coup de téléphone mystérieux l'empêche soudain de tourner en rond : deux nuits d'amour, quelques ballades à l'aube et six cadavres plus loin, le journaliste s'est fait pote avec le commissaire Ehlers - et ce un peu malgré eux !Un polar très noir et terriblement efficace.