Filtrer
Rayons
Éditeurs
Langues
Formats
-
Lille, juin 2017. Avenue du Peuple belge.
La nuit, le trottoir, les filles. Tout un monde interlope où victimes et bourreaux jouent au chat et à la souris. Dans cet univers, Nina, 37 ans, indépendante, se laisse aller à des rêves de reconversion. Le métier a changé. L'offre est plus jeune, moins chère. Comme cette Lili, 17 ans, fraîchement débarquée de Roumanie. Tout semble opposer les deux femmes. Pourtant, face à la vague de barbarie qui monte et engloutit le pavé, elles vont se trouver associées pour le meilleur et pour le pire...
Entre terreurs et trahisons, Nina horrifie par son réalisme glaçant. Un roman, presque un documentaire, à ne pas mettre entre toutes les mains... -
Lille. Deux heures du matin. Un homme se fait sauvagement assassiner à son domicile. Le seul à pouvoir reconnaître l'assassin est son fils, Théo, neuf ans, polyhandicapé et mutique. « Il ne dira rien ». C'est ce qui le sauve. Il n'est pas une menace. Sauf que... Le lendemain, l'orthophoniste du garçon, Emma Lordon, troublée par le comportement de son patient, décide de le faire « parler ». Pour cela, elle utilise une technique contestée et interdite en France dans les établissements pour personnes vulnérables : la communication facilitée. Au moyen d'un clavier, l'enfant se livre : « Papa mort ». Et s'il pouvait faire avancer l'enquête ? En portant son témoignage, Emma ne se doute pas de ce qui l'attend : suspicions, sarcasmes et tellement pire encore ! Pour le meurtrier, elle doit disparaître...
Dans ce roman haletant et original, Marie Compagne nous fait découvrir une méthode étrange qui nous met face aux formidables capacités du cerveau humain. La science n'explique pas donc elle con- damne. Et étouffe. Une autre raison pour le lecteur de se plonger dans ce polar éblouissant !
1er Prix Éliane Desort 2019 de la ville de Pont-à-Marcq
Finaliste 2019 du Prix de l'ADAN -
Lille. Église Saint-Maurice.
Derrière le rideau rouge du confessionnal, une femme nue, agenouillée, le front posé sur ses mains jointes. Morte. Le corps est d'une pâleur spectrale. Au creux du cou, deux incisions évoquent le baiser d'un vampire... Et dans la croix en bois qui pend sur sa poitrine, des vers d'un autre temps. « Dans ton sang, ma chérie, je bois l'éternité... »
Un étrange tableau pour une intrigue addictive.
Après La nuit avalera le mal, c'est au coeur d'une palpitante chasse aux vampires que nous emmène Marie Compagne. Une course contre le passé qui réserve à la capitaine Sybille Lievic son lot de sinistres surprises...