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Sentimental historique
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Geneviève de Saint-Martin n'imaginait pas connaître le sort des femmes de son village. Depuis octobre 1914, il ne se passait pas un mois sans la visite des gendarmes en mairie pour annoncer une triste nouvelle.
Elle n'avait aucun parent sous les drapeaux ; sa seule et lointaine connaissance, Jacques Sablier, était médecin dans un hôpital auxiliaire, loin des lignes, utile à la patrie, voire indispensable.
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Février 1768, Marie et Mathieu sont fiers de leur fils de cinq ans, Mathieu lui aussi, malin et malicieux ! En revenant de chez Jacques, son copain tonnelier qui sait composer et clamer des poèmes, le père songe à l'hiver rigoureux, à la récolte misérable, à la vie du village.
Il trouve utile d'apprendre à lire à son fiston. Marie de son côté pense que leur garçon est encore jeune et encourage Mathieu à lui enseigner des choses utiles : aider aux champs, affronter l'existence pauvre. Il convient que les temps sont rudes, mais les enfants jouent et les parents s'aiment, c'est déjà beaucoup !
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Le comte de Sénanges a une double réputation : fin diplomate et redoutable séducteur. Invité par M. de Terny, il est troublé par la jeune Emma, âgée de seulement 16 ans qui éprouve les premiers émois de l'adolescence. Placée entre le jeune Arthur prêt à la défendre et le comte décidé à la séduire, la demoiselle s'interroge sans cesse sur le bon choix.
Le récit de 1838 se situe dans la riche société du XIXe siècle. Les sentiments sont identiques à travers les époques, ceux du coeur et ceux de la mode. Ancelot ironise sur les nobles prêts à se laisser berner par les apparences et se penche sur la jeunesse exposée aux mauvais penchants des harceleurs.
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Au théâtre de l'Odéon, Jules Renaut, étudiant sans le sou, se paie l'audace d'aborder une splendide marquise qui s'ennuie près de son mari. Le plaisir d'un soir se transforme en rencontre, puis en confidence. L'amoureux transi découvre un monde qui lui était totalement inconnu, où il saura gravir les échelons avant de...
Édouard d'Anglemont dépeint des classes sociales que tout semblait séparer en 1842 ; les héros se révèlent sans scrupules, car les conventions et leurs intérêts les séparent. Pour prémunir le lecteur, l'auteur use souvent de l'humour au second degré.
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Sur le bord du plateau que couronnait l'antique forêt des sept villes de Bleu, s'élevait le château d'Amécourt. Là, vivait un seigneur fier de sa fortune et de sa fille, la belle Alix, seule héritière des domaines de son père. Alix était, avant sa quinzième année, l'objet de rêves d'amour et d'ambition.
Un jour, sous les ombrages de la forêt, Robert de Tierceville s'enhardit à faire un aveu, Alix s'y était attendue depuis longtemps. Ce que Robert lui disait, elle l'avait lu plus d'une fois dans ses yeux. Cependant, le sire d'Amécourt écartait tous ceux qui sollicitaient son alliance.