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Policier & Thriller
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Elégant et séducteur, voilà la réputation d'Arsène Lupin, gentleman-cambrioleur de « Belle Epoque ». Son intelligence, sa culture et ses talents d'illusionniste entre Fregoli et Robert-Houdin sont au service d'un culot stupéfiant. Mais cet homme du monde accompli est aussi un anarchiste dans l'âme qui se joue des conventions sociales avec une merveilleuse insolence.
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Des cris lugubres résonnent sur la lande... Et voici que la légende prend corps. Un chien énorme, créature fantomatique et infernale, serait à l'origine de la mort de sir Charles Baskerville. Maudit soit Hugo, l'ancêtre impie et athée, qui provoqua, en son temps, les forces du mal... Sherlock Holmes ne peut croire à de telles sornettes. Aussi, lorsqu'il dépêche le fidèle Watson auprès de sir Henry, l'héritier nouvellement débarqué d'Amérique, il ne doute pas de mettre rapidement fin à ces spéculations. Pourtant, la mort a frappé plusieurs fois sur la lande et le manoir est le théâtre de phénomènes bien étranges... Se peut-il que la malédiction des Baskerville pèse encore ?
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Qui a tenté d'assassiner la fille du célèbre professeur Stangerson et, surtout, comment l'agresseur a-t-il pu s'enfuir d'une chambre fermée de l'intérieur, aux fenêtres closes et sans cheminée ? C'est à n'y rien comprendre. Pourtant, bien décidés à élucider le mystère, le fameux policier Larsan et le jeune reporter Rouletabille mènent l'enquête...
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Des évènements étranges ont lieu à l'Opéra : un lustre s'effondre pendant une représentation, un machiniste est retrouvé pendu. C'est alors que les directeurs de l'Opéra se voient réclamer la somme de 20 000 francs par mois part un mystérieux « Fantôme de l'Opéra » qui exige par ailleurs que la loge n° 5 lui soit exclusivement réservée. Mais, inquiétant encore, une chanteuse nommée Christine Daaé, entend son nom pendant la nuit et elle affirme même avoir vu et rencontré le fameux « Fantôme de l'Opéra... »
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Le célèbre détective Sherlock Holmes reçoit un message l'avertissant de l'assassinat d'un certain Douglas, originaire de Birlstone Manor House. Le défunt a été tué d'un coup de carabine Winchester, et est par conséquent méconnaissable. Très rapidement, Sherlock Holmes élimine de la liste des suspects l'ami et la femme du défunt et démontre finalement que le mort n'est pas Douglas. Celui-ci sort alors de sa cachette et raconte son histoire...
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Arsène Lupin : gentleman cambrioleur ; les confidences d'Arsène Lupin
Maurice Leblanc
- Thriller Editions
- 1 Janvier 1970
- 9782363811882
« Allô, le service de la Sûreté ? M. l'inspecteur principal Ganimard est-il ici ? Pas avant vingt minutes ? Dommage ! Enfin. Quand il sera là, vous lui direz ceci de la part de Mme Dugrival. Oui, Mme Nicolas Dugrival. Vous lui direz qu'il vienne chez moi. Il ouvrira la porte de mon armoire à glace et, cette porte ouverte, il constatera que l'armoire cache une issue qui fait communiquer ma chambre avec deux pièces. Dans l'une d'elles, il y a un homme solidement ligoté. C'est le voleur, l'assassin de Dugrival. Vous ne me croyez pas ? Avertissez M. Ganimard. Il me croira, lui. Ah ! J'oubliais le nom de l'individu : Arsène Lupin »
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Depuis que le mystère de la chambre jaune a été élucidé par Rouletabille, le célèbre reporter, rien ne semble plus s'opposer au mariage de Mathilde Stangerson et Robert Darzac. A peine l'affaire est-elle conclue que le bonheur de Mathilde est gravement menacé...
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Pendant quelques minutes les deux amis bavardèrent tranquillement à coeur ouvert ; leur prisonnier se débattait en vain pour se libérer de ses liens. Quand ils regagnèrent la voiture, Holmes se retourna pour contempler la mer éclairée par la lune et hocha pensivement la tête. « Le vent d'est se lève, Watson ! »
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Une mère vampire s'attaquant à son propre enfant : qui voudrait croire à une telle horreur ? Tel est pourtant bien, en apparence, le drame que Sherlock Holmes et son inséparable Watson doivent tenter d'éclaircir.
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Suite à la mort de Monseigneur d'Abbeville, de l'Académie française, tous les nouveaux candidats à l'immortalité qui sont désignés pour occuper son fauteuil, meurent lors du discours d'hommage fait au prédécesseur. Hippolyte Patard, secrétaire perpétuel commence à désespérer, car personne ne veut alors être le successeur de Mgr d'Abbeville, craignant une malédiction. C'est alors qu'arrive Gaspard Lalouette, un simple antiquaire et marchand...
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Un jour, Sherlock Holmes reçoit une lettre de Tobias Gregson, un des limiers de Scotland Yard, qui lui demande de l'aide dans une affaire de meurtre. Un cadavre est découvert avec plusieurs indices, et Sherlock Holmes démontre plus tard que ce sont de fausses pistes. Après de longues investigations, Holmes constate que plusieurs indices ne correspondent pas à l'apparence des faits. C'est en questionnant les inspecteurs de Scotland Yard que Holmes et Watson parviennent à identifier la victime mormone, grâce à une femme qui a hébergé la victime...
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C'était horrible ! Il n'y a pas de mots pour dépeindre le cadre d'un visage quand le visage n'est plus. Deux très beaux yeux noirs vivants émergeaient tristement d'une ruine effroyable et ajoutaient à l'horreur de cette vision. Holmes leva les mains dans un geste de pitié et de protestation. Ensemble nous quittâmes la pièce.
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11 aventures du célébre détective londonnien : Sherlock holmes.
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Maximilien Destroy, musicien de profession, retrouve lors d'une promenade au jardin du Luxembourg un ami, Clément, qu'il avait récemment perdu de vue. Max va rentrer dans le cercle intime de Clément et découvrir au fil de ses visites, la vie tumultueuse de cet ami...
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Mrs. Violet Smith vient pour s'entretenir avec Sherlock Holmes d'une affaire qui l'intrigue. La jeune femme explique être une enseignante en musique issue d'une famille pauvre depuis la mort de son père plusieurs mois auparavant. Outre sa mère restée à ses côtés, la jeune femme avait aussi un oncle du nom de Ralph Smith, mais ce dernier est lui aussi décédé. Il vivait en Afrique du Sud, et sa mort lui a été rapportée, ainsi qu'à sa mère, par deux hommes du nom de Bob Carruthers et Jack Woodley, des connaissances de Ralph Smith en Afrique. Voyant la pauvreté de la jeune femme, Bob Carruthers lui a alors proposé de venir habiter chez lui à Charlington pour donner des cours à sa fille en l'échange d'un très bon salaire, ce qu'elle a accepté à condition de pouvoir revenir voir sa mère chaque week-end par le train. La jeune femme réalise donc chaque semaine l'aller-retour, et utilise sa bicyclette pour faire le trajet entre la demeure de son hôte et la gare de Charlington, en empruntant une route particulièrement calme à travers la lande. La jeune femme se montre satisfaite de sa situation, mais a remarqué, depuis quelques temps que lors de ses fréquents parcours en bicyclette, qu'un homme barbu, qu'elle ne connaît pas, la suit à vélo en gardant une distance d'environ 200 mètres par rapport à elle. La jeune femme, davantage intriguée qu'apeurée, demande à Holmes de comprendre ce qui se trame autour d'elle.
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1840, Londres vibre au rythme des frasques d'un irlandais, le marquis de Rio-Santo, un dandy insolent dont la richesse paraît sans limite. Cet homme qui subjugue l'aristocratie règne également sur les bas-fonds de la capitale. En effet, Rio-Santo est à la tête d'une association de malfaiteurs baptisée « Les Gentilshommes de la nuit », et prépare en secret une révolution destinée à libérer l'Irlande...
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L'histoire commence à la veille du XXe siècle, aux États-Unis. Un meurtre est commis à bord de l'Union Pacific Railway, la jeune Mary fait feu sur son protecteur et fiancé, le richissime Jonathan Smith, alors que celui-ci dans un accès de jalousie s'apprête à poignarder Charley, un jeune employé dont il a découvert la coupable liaison avec sa promise. Le corps est jeté du train en marche et les deux amants disparaissent. Puis nous faisons la connaissance d'un microcosme parisien qui s'organise, vingt ans après ces faits, autour de Maxime Lawrence, de sa femme, la belle Adrienne, et de ses deux enfants, Lily et Pold. Ce dernier, jeune homme fantasque, s'est lié d'amitié avec le tapissier du Sentier M. Martinet et s'est mis en tête de courtiser une cocotte à la mode, la provocante Diane. C'est dans la cour des mondains qui entourent cette dernière qu'apparaissent deux figures mystérieuses : le prince Agra, riche et jeune potentat originaire des Indes anglaises dont le parcours, de Mayerling à la Russie tsariste, draine dans son sillage « de l'amour, des larmes et du sang » et le difforme Sir Arnoldson, surnommé « l'Homme de la Nuit », qui n'apparaît qu'emmitouflé dans un ample macfarlane, le regard occulté par des lunettes. Entre Paris et la résidence de campagne des Lawrence, près du Bois de Misère et de son Auberge Rouge, ces deux personnages sulfureux vont se trouver au centre d'une sanglante manipulation faite de mensonge amoureux, d'amitié en trompe-l'oeil, de rendez-vous fatals et de déshonneur orchestré.
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De curieux gribouillages d'aspect enfantin sont apparus dans la propriété des Cubitt dans le Norfolk. Ils représentent de petits bonhommes en train de danser. Ces dessins surgissent de façon mystérieuse : parfois sur des bouts de papier déposés pendant la nuit, parfois griffonnés à la craie sur un mur, une porte ou le rebord d'une fenêtre. Chaque fois, leur découverte semble terrifier Elsie, mais elle n'en donne aucune explication à son mari. Holmes demande à Cubitt de lui transmettre une copie fidèle de chaque nouveau message des « hommes dansants ». Grâce au matériel ainsi rassemblé, Holmes parvient à briser le code secret des mystérieux graffiti. C'est alors que Cubitt est tué d'une balle en plein coeur et sa femme gravement blessée à la tête. Est-ce un meurtre suivi d'un suicide ? À la stupéfaction de l'inspecteur de police local, Holmes découvre vite qu'il n'en est rien. Plusieurs indices lui font suspecter l'implication d'une troisième personne, qui est aussi certainement l'auteur des messages codés. Pour étayer ses soupçons, Holmes devra recourir de nouveau à ses compétences de cryptologue...
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Ce qui me glaçait de terreur, c'était cet alpenstock, qui me prouvait que mon ami n'était pas allé à Rosenlaui. Holmes avait dû rester là, sur cet étroit sentier, bordé d'un côté par une paroi abrupte et de l'autre par un précipice, et c'était là que son ennemi l'avait surpris. Aucune trace du jeune Suisse, bien entendu, Moriarty l'avait payé, le gamin était parti, laissant les deux hommes face à face. Que s'était-il passé ensuite ? Qui pourrait jamais nous le dire ?
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L'affaire Lerouge est directement inspiré d'une affaire qui défraya la chronique en 1865.
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Sherlock Holmes passe à Scotland Yard et son ami lui fait part d'une énigme : un fou détruit des bustes de Napoléon Ier, sans raison apparente, en s'infiltrant chez les gens.
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Extrait
« Et maintenant, un mot sur ma maison, monsieur Holmes, car je tiens à ce que vous vous fassiez une idée très nette de la situation. Mon garçon d’écurie et mon groom couchent au-dehors et sont, par conséquent, hors de cause. J’ai trois servantes qui sont chez moi depuis des années et dont l’honnêteté est au-dessus de tout soupçon. Une autre, Lucy Parr, la seconde femme de chambre, n’est à mon service que depuis quelques mois. Mais elle s’est présentée avec des certificats excellents et m’a donné jusqu’ici entière satisfaction. C’est une fort jolie fille, qui a beaucoup d’admirateurs, et l’on en voit assez souvent, aux alentours, qui la guettent sur son passage. C’est la seule chose qu’on puisse lui reprocher, mais nous n’en sommes pas moins convaincus qu’elle est très sérieuse.
« Voilà pour les domestiques. Quant à ma famille, elle est si peu nombreuse qu’il ne me faudra pas longtemps pour vous la décrire. Je suis veuf et n’ai qu’un seul fils, Arthur, qui ne m’a apporté que des désillusions, monsieur Holmes, les plus pénibles désillusions. Mais c’est peut-être un peu ma faute. On m’a toujours dit que je le gâtais trop, et c’est fort possible. Quand j’ai eu le malheur de perdre ma femme, qui m’était si chère, j’ai naturellement reporté sur lui toute mon affection. Je ne pouvais supporter de le voir soucieux un seul instant, et je ne lui ai jamais rien refusé. Peut-être aurait-il mieux valu, pour lui comme pour moi, que je fusse plus sévère, mais je croyais bien faire en agissant ainsi.
« Comme tous les pères, je n’avais qu’un désir : celui de lui voir prendre la suite de mes affaires ; malheureusement, il n’avait aucun goût pour cela. Il était trop capricieux, trop fantasque, et, pour dire la vérité, je n’aurais pas osé lui confier les sommes importantes journellement déposées à la banque. Tout jeune encore, il était devenu membre d’un cercle aristocratique où, grâce à ses charmantes manières, il ne tarda pas à devenir l’ami intime de beaucoup de gens très riches et habitués à jeter l’argent par les fenêtres. Entraîné par leur mauvais exemple, il essuya de si lourdes pertes au jeu et aux courses qu’il en fut maintes fois réduit à venir me supplier de lui faire des avances sur l’argent de poche que je lui accordais, afin d’acquitter ses dettes d’honneur.
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Un crime odieux a été commis dans un infâme bouge parisien baptisé « La Poivrière ». Après une longue filature, l'inspecteur Lecoq arrête un saltimbanque. Une énigme passionnante qui s'impose par l'analyse psychologique et sa dimension historique.
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Jabez Wilson demande l'aide de Sherlock Holmes après avoir intégré une certaine Ligue des Rouquins. Quelques semaines auparavant son jeune assistant, Vincent Spaulding, lui a montré une annonce où il était écrit que toute personne rousse pouvait espérer pouvoir intégrer la Ligue des Rouquins et ainsi gagner quatre livres par semaine. Monsieur Wilson s'est alors présenté et a été engagé par un certain Duncan Ross. Sa mission est de recopier des pages de l'encyclopédie britannique de 10 h à 14 h. Il faut aussi ajouter que Monsieur Ross a bien insisté sur le fait qu'il devait toujours être ponctuel et ne jamais sortir pendant ces quatre heures de travail sous peine d'être licencié. Tout se passe très bien pendant plusieurs semaines mais un jour alors que Monsieur Wilson allait à son travail il trouve sur la porte une feuille annonçant la dissolution de la Ligue des Rouquins. Cette affaire devenant de plus en plus floue, il décide d'aller voir Sherlock Holmes et, avec son aide, découvre que Mr. Ross s'appelle en réalité William Morris...