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Policier
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Hervé Larose, un braqueur particulièrement dangereux, criminel sans scrupules, orchestre une évasion sanglante du Centre pénitentiaire. Son objectif ? Organiser avec ses complices un nouveau hold-up de bijoux. Un des policiers chargés de l'enquête, le lieutenant Tran, tombe sous le charme de Karine Rochas, la ravissante matonne prise en otage lors de la fuite du truand. Mais il découvre qu'elle ne dit pas toute la vérité. L'inquiétude grandit quand plusieurs membres du gang perdent la vie dans des circonstances violentes. Un polar haletant, riche en rebondissements, dont l'intrigue est tissée avec jubilation par le Dr K. -
À PROPOS DE L'AUTEUR
L'auteur. Olivier Kourilsky (le Dr K) a publié dix romans policiers, dont quatre ont été primés. Au fil des ouvrages, on suit la carrière du docteur Banari, du commissaire Maupas et du commandant Chaudron, une jeune chef de groupe à la Crim'. Le Dr K a également écrit un émouvant témoignage de son parcours médical, "La Médecine sans compter". -
Quand les vacances tournent au cauchemar...
AFP, 18 juin : "GRAVE ÉPIDÉMIE VIRALE AU MEXIQUE - DES CENTAINES DE MORTS - TOUS LES AÉROPORTS FERMÉS".
Le docteur Paul Thuiller et sa femme Hélène, virologue réputée, rentrent des États-Unis. Dans l'avion qui les ramène en Europe, deux passagers s'écroulent, asphyxiés par une fulgurante affection respiratoire. Paul est appelé au chevet des malades. Ils portent tous les deux les signes d'une grave infection virale... Le médecin convainc le commandant d'atterrir en urgence, contraint de se poser en Islande, sur une piste trop petite... Malades, blessés et morts sont mis en quarantaine. Tandis que les décès se multiplient, la radio informe la population que les aéroports internationaux ferment les uns après les autres...
Un thriller apocalyptique à la fois angoissant et captivant !
EXTRAIT
La Peste. Quel sens donner à ce mot qui rappelle les horreurs moyenâgeuses, les crécelles, les séances de flagellation, les charniers à l'entrée des villes et des villages, la panique généralisée, l'ambiance de fin du monde et un clergé vengeur, attribuant ce cataclysme à la non-rémission des péchés de chacun. Un effluve « miasmatique », pénétrant, incontournable, irréversible, « pestilentiel », où se mêlent l'odeur salubre du bois brûlé et celle, épouvantable, de la chair humaine en décomposition, où seul le feu peut tenter d'effacer les suintements purulo-sanglants de ces corps entassés, amassés dans des fosses communes creusées à la pelle par des hommes épouvantés et peut-être déjà, eux-mêmes atteints.
CE QU'EN PENSE LA CRITIQUE
L'intrigue de ce thriller au parfum d'apocalypse virale est d'actualité. - Ouest France
À PROPOS DE L'AUTEUR
Philippe Le Douarec est chirurgien, fellow of the American College of Surgeons.
Il enseigne l'histoire de la médecine et l'anatomie. Il connaît bien l'Islande, qu'il a traversée du nord au sud... en courant. -
Au sein d'une grande firme informatique, onze employés ont mis fin à leurs jours depuis le début de l'année... Un hasard ?
Françoise, employée modèle, travaille depuis vingt ans dans une grande firme informatique. Son coéquipier est le onzième salarié à mettre fin à ses jours depuis le début de l'année. Bouleversée, elle décide d'entrer en résistance au sein de son entreprise. Au même moment, la mort brutale de Michel Delvaut, ancien PDG des Turbines Atlantiques, fait la une des médias. Si l'hypothèse du suicide se confirmait, ce serait le sixième PDG à se donner la mort en moins d'un an. Quel lien entre ces faits divers?? Aucun, bien sûr... Entre thriller et fable politique, ce roman d'une brûlante actualité met en scène la révolte solitaire d'une femme contre l'impitoyable monde des affaires.
Suivez Françoise dans sa soif de justice et sa lutte contre les arcanes du monde des affaires, avec ce thriller politique teinté de crise sociale !
EXTRAIT
Quand la voiture s'arrêta, Françoise entendit : « On est arrivées, tu peux retirer le bandeau. » La ruelle où elles étaient stationnées était une impasse étroite, obscure, bordée des ombres de rares pavillons. Où était-elle ? Dans une banlieue, probablement, mais laquelle ? Un quartier plutôt modeste, pas très loin d'une voie ferrée comme le signala le vrombissement soudain du passage d'un train. Elle nota que le petit pavillon vers lequel elles se dirigeaient portait le numéro 24. C'est tout ce qu'elle put retenir. La femme lui précisa : « Ne cherche pas à savoir où nous sommes, tu n'y parviendrais pas. Par contre, moi, je sais où tu travailles et à la moindre trahison je te retrouverai. » Françoise poussa une barrière grinçante puis monta les cinq marches du perron d'une habitation à un étage, entourée d'un jardinet. On ouvrit devant elle la porte vitrée : « Entre, on va s'installer dans la pièce du fond. » Une sorte de chambre froide, mal éclairée par une ampoule qui pendait du plafond au bout d'un fil. Ni lit ni meuble de rangement, mais une table ronde et trois chaises. « Assieds-toi là, ordonna la femme, désignant l'un des sièges en plastique blanc. Tu veux un café ? » Elle disparut sans oublier de fermer la porte à clé. Pour Françoise, les premières minutes de solitude furent terriblement angoissantes. Le froid, l'obscurité, les papiers peints décollés, l'odeur de moisi : tout cela rendait le lieu glauque, d'autant que les vitres avaient été recouvertes de papier kraft et la poignée de la fenêtre était bloquée avec du fil de fer. L'ensemble créait une atmosphère de conspiration.
À PROPOS DE L'AUTEUR
Denis Labayle est l'auteur de six essais dont La vie devant nous (Seuil) et Pitié pour les hommes (Stock), ainsi que de huit romans dont Cruelles retrouvailles (Julliard, Prix des mots Doubs, Prix Littré), Rouge majeur (Dialogues, Prix des lecteurs de Brive) et Noirs en blanc (Dialogues, Prix Armorice). Son précédent roman, Correspondance Châtelet, a été publié aux Éditions Glyphe. -
Mêlée malgré elle à une sombre affaire de trafic d'organes, le docteur Dombre ne pourra compter que sur elle-même...
La vie personnelle du docteur Séverine Dombre, médecin responsable d'une unité de greffe rénale à Paris, est un désastre. Fille unique, très tôt orpheline, elle est incapable de nouer une relation amoureuse stable et n'entretient que des rapports distants et conflictuels avec son fils Vincent. Séverine est approchée par un groupe mafieux qui veut la contraindre à organiser une greffe de rein. Face aux intimidations, puis aux menaces qui pèsent sur elle et sur son fils, lâchée par ses collègues qui n'ont pas compris ce qui se tramait, le docteur Dombre va découvrir les ressources de l'amour maternel, et dans le même temps exhumer un terrible secret familial. Un personnage attachant de femme tourmentée et une plongée angoissante dans l'univers de la transplantation rénale concoctée par le Docteur K.
L'ouvrage est accompagné d'une nouvelle d'Olivier Kourilsky parue en 2017 : Mon Meilleur ami.
Mafia, trafic d'organes et secrets familiaux sont au menu de ce nouveau polar signé Docteur K !
EXTRAIT
Janvier 2017, à Paris
En société, Séverine Dombre affirmait volontiers ne jamais se fier à sa première impression. Celle-ci, précisait-elle, l'avait à plusieurs reprises induite en erreur. Pourtant, cette fois-ci, son impression se révéla exacte. Pour son plus grand malheur. Lorsqu'elle ouvrit la porte pour accueillir le patient de quinze heures, elle avait vingt minutes de retard sur l'horaire du rendez-vous, ce qui la contraria. Séverine essayait toujours d'être aussi ponctuelle que possible. Une
particularité rare pour un médecin, et pas toujours facile à tenir, mais pour elle c'était une question de respect. Sa liste à la main, elle appela : « Monsieur Adrian Dibra ? »
À PROPOS DE L'AUTEUR
Olivier Kourilsky est médecin néphrologue, professeur honoraire au Collège de Médecine des Hôpitaux de Paris. Il a publié huit polars depuis 2005, tous aux Éditions Glyphe, dont Meurtre pour de bonnes raisons (prix Littré 2010) et 'Le Septième péché (Prix du polar d'Aumale 2014). -
Le Havre, 70 ans après la guerre et les bombardements : les décombres ont disparu mais la ville martyrisée cache encore bien des secrets...
Avant d'être inscrit en 2005 au patrimoine mondial de l'Unesco, le centre-ville du Havre a subi les bombardements alliés : le 5 septembre 1944, en deux heures de pilonnage massif, 3000 tonnes de bombes sont déversées sur la cité océane, faisant 50 hectares de ruines et plus de 2000 victimes.
À l'heure de la reconstruction, le plus grand chantier d'Europe est un vaste terrain de jeux pour les bandes d'enfants.
Certains virent au drame, comme celui qui s'est noué dans les restes du muséum dévasté.
Plus de trente années ont passé sur cette sordide histoire, et le commandant Charles Vigorneau - Vigor - se prépare une rude semaine. Victime dans la nuit d'un malaise cardiaque, il doit dès le lendemain enquêter sur un double crime.
Apparemment, l'assassin s'est trompé de victime, et pourchasse sa proie. Sur le chemin de sa croisade, Vigor est un obstacle qui doit disparaître...
Un roman policier normand trépidant !
EXTRAIT
Le gardien en tenue devant le 27, après une ébauche de salut, poussa la porte d'entrée devant Vigor et la maintint ouverte car il n'y avait pas de lumière dans le vestibule, et le jour gris de ce mardi matin traversait avec peine la partie du haut, vitrée et grillagée à petites mailles. Machinalement, il chercha un ascenseur, alors qu'il n'avait même pas demandé l'étage.
- Il n'y en a pas, fit le gardien qui avait saisi le regard circulaire de Vigor.
L'escalier se vrillait sur trois étages autour d'une colonne centrale qui faisait penser à un grand mât de caravelle, et les déménagements laborieux des occupants successifs avaient laissé sur l'arrondi du mur de longues plaies crayeuses qu'aucun enduit réparateur n'était venu panser.
Le froid contact de la rampe sous sa main lui rappela un instant son équipée nocturne. Il prit une goulée d'air, qu'il aurait souhaité plus pur, avant d'entamer l'escalade.
Au premier, après quinze marches dont le nez affaissé fuyait sous la semelle, un palier étranglé desservait deux portes dont la première était entrouverte et gardée par un agent. Celui-ci, comprenant la méprise de Vigor qui se croyait rendu, sortit une main de son ceinturon et, d'un air désolé, indiqua du pouce et du menton l'étage supérieur. Dans l'entrebâillement, Vigor aperçut deux pieds violacés dans des charentaises avachies sous une table en Formica.
Tout ça respirait la misère, ou pas loin.
CE QU'EN PENSE LA CRITIQUE
Une lecture à conseiller pour un havrais amateur de polars ! -Sebulon, Babelio
À PROPOS DE L'AUTEUR
Michel Roset est médecin et exerce la cardiologie au Havre.
Ayant joué, enfant, dans les chantiers de reconstruction de sa ville, il a bien connu les lieux où s'est déroulée cette sombre affaire.
Il écrit surtout pour le théâtre, et son premier recueil, L'ami Georges, a été publié aux Editions Glyphe. -
Une intrigue noire et haletante.
Christian Arribeau, jeune médecin ambitieux et pétri d'orgueil, a planifié sa carrière pour accéder aux plus hautes fonctions, balayant tous ses concurrents. Il vient de franchir la dernière étape avant sa nomination comme professeur de néphrologie. Mais, alors qu'il sort discrètement d'un immeuble, il renverse un clochard qui s'est jeté sous ses roues. Paniqué à l'idée des conséquences sur sa carrière et persuadé que personne ne l'a vu, il prend la fuite. Commence alors une vertigineuse descente aux enfers, orchestrée par l'obstination d'un policier et l'intervention d'un témoin mystérieux aux motivations obscures. S'agissait-il d'un banal accident ou d'une machination ? Et dans ce cas, qui tire les ficelles ? L'univers bien organisé et la belle assurance d'Arribeau vont s'écrouler comme un château de cartes.
Avec Le 7e péché, le Docteur K signe le septième roman d'une série palpitante.
EXTRAIT
Pétrifié, je n'arrivais pas à détacher mon regard de cette image. J'étais foutu. Ce que je redoutais depuis ce soir tragique se réalisait. On m'avait vu. Mais le plus glaçant était cette photo, manifestement réalisée avec un équipement spécial pour prises de vues nocturnes. La préméditation était évidente. Qu'est-ce que ça voulait dire ? Pourquoi le témoin ne s'était-il pas manifesté sur le champ ? Et ce cliché envoyé sans commentaire, aucune demande d'argent ni avertissement. On voulait me faire comprendre qu'on savait. Me terroriser. C'était réussi ! Le chantage allait suivre...
CE QU'EN PENSE LA CRITIQUE
Le 7e péché, nous met en haleine. L'intrigue est bien ficelée et, comme dans tout bon roman policier, on a envie de savoir qui tire les ficelles. Le lecteur, en observateur du système de santé, y découvrira aussi et surtout l'enfer impitoyable de l'université médicale et de l'hôpital. L'ambition y règne en maître. Le professorat est le sésame pour tous les arrivistes qui veulent dominer. On sent bien qu'Olivier Kourilsky, qui en est à son septième roman policier, est à son affaire. Il connaît tous les rouages de la carrière universitaire et hospitalière. Le meurtre réel ou symbolique rôde dans les services. On s'y croirait. - Pascal Maurel, Décision santé
L'auteur évolue avec aisance dans ce milieu qui fut le sien pendant de longues années. La description du milieu hospitalier et universitaire, avec ses jeux de pouvoir et d'influence, est rendue de manière très réaliste [...] Une vraie réussite que ce 7e péché, même capital, et un très bon moment de lecture. - Vincent, Babelio
À PROPOS DE L'AUTEUR
Olivier Kourilsky, alias le Docteur K, est médecin néphrologue, professeur honoraire au Collège de médecine des Hôpitaux de Paris ; il a dirigé le service de néphrologie du Centre Hospitalier Sud-Francilien.
Il écrit des romans policiers depuis un peu plus de dix ans et a publié six ouvrages depuis 2005, dont Meurtre pour de bonnes raisons, prix Littré 2010.
Ses personnages évoluent souvent dans le monde hospitalier, entre les années soixante et aujourd'hui. Au fil du temps, on suit le professeur Banari, le commissaire Maupas, le commandant Chaudron, jeune policière chef de groupe à la Crim'... -
Erreur judiciaire ou macabre coïncidence...?
Faculté des Saints-Pères, 1963. Le corps d'une étudiante en médecine est retrouvé sur une table du pavillon d'anatomie, au milieu des cadavres en attente de dissection. Stupeur?! L'auteur présumé de ce crime horrible est rapidement arrêté, condamné et exécuté. Mais d'autres morts s'accumulent autour de la petite bande d'étudiants déjà durement frappée.
Ces drames ont-ils un rapport entre eux?? Un des carabins arrive à convaincre un inspecteur de police de reprendre l'enquête, à l'insu de sa hiérarchie.
Le suspense est au rendez-vous dans ce premier polar redoutable d'efficacité d'Olivier Kourilsky.
EXTRAIT
Fernand Rabot termina son café. De sa petite table du Carabin, bourré de monde à cette heure, il ne pouvait voir d'autre paysage que la façade massive de la Faculté des Saints Pères. La lumière glauque de la journée d'hiver ajoutait encore à son aspect sinistre. Cette « Nouvelle Faculté » était encore une belle réussite architecturale qui n'aurait pas déplu de l'autre côté du Rideau de fer... Mais ses amphithéâtres et ses salles de travaux pratiques étaient quand même plus spacieux que ceux de la rue de l'École de Médecine : escalader les gradins d'un amphi de la « Vieille Fac » relevait de l'exploit sportif !
Fernand s'étira et regarda sa montre. Il était temps d'aller retrouver ses pensionnaires. Il salua en habitué le garçon et enfila son vieux manteau. Ignorant comme toujours le passage-piétons, il traversa directement vers l'entrée de la Faculté.
À PROPOS DE L'AUTEUROlivier Kourilsky, alias le Docteur K, est médecin néphrologue, professeur honoraire au Collège de médecine des Hôpitaux de Paris ; il a dirigé le service de néphrologie du Centre Hospitalier Sud-FrancilienIl écrit des romans policiers depuis un peu plus de dix ans et a publié six ouvrages depuis 2005, dont Meurtre pour de bonnes raisons, prix Littré 2010.Ses personnages évoluent souvent dans le monde hospitalier, entre les années soixante et aujourd'hui. Au fil du temps, on suit le professeur Banari, le commissaire Maupas, le commandant Chaudron, jeune policière chef de groupe à la Crim'...Olivier Kourilsky est membre de la Société des gens de lettres et de la Société des auteurs de Normandie.
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Des ingrédients étonnants pour un thriller détonnant !
Trafiquant de drogue, Léo Hernàndez, dit Le Mexicain, traîne une superstition maladive. Voici qu'à la suite d'une livraison ratée, son patron lui ordonne de foncer au pays de Galles récupérer une nouvelle cargaison de came dans un château hanté, le soir d'Halloween. Le Mexicain va y croiser un couple de chirurgiens français et leur fille Pauline, adolescente perturbée, gothique et un peu kleptomane.
C'est le début d'une suite de rebondissements en cascade : le malfaiteur, poursuivi par la police et ses anciens complices, veut récupérer son bien à tout prix, un précieux carnet garant de sa survie. L'ex-commissaire divisionnaire Maupas trouve là une occasion rêvée de sortir de sa retraite.
Le 8e polar du Docteur K, un feu d'artifice(s).
EXTRAIT
Le lendemain après-midi, Le Mexicain reçut un appel de Marchand.
- Faut qu'on se voie.
- Jeannot, je ne comprends pas pourquoi ça a merdé, quelqu'un a dû...
- Ta gueule, boxon ! On se retrouve à dix-neuf heures.
- À l'endroit habituel ? Léo venait de comprendre qu'il ne devait donner aucune information au téléphone.
- Oui. Et prends tes précautions.
Ça voulait dire : attention aux filatures. C'est pour ça que Marchand lui laissait un bon délai.
Léo attendit un moment avant de raccrocher. Un discret clic lui confirma qu'il était bien sur écoute. Les keufs n'avaient pas traîné ! Et le ton sec de Marchand n'annonçait rien de bon. Le Mexicain n'était pas rassuré. Il aurait bien aimé appeler José, son partenaire dans cette opération malheureuse, mais ce n'était pas une bonne idée : lui aussi devait être surveillé.
CE QU'EN PENSE LA CRITIQUE
L'histoire est captivante, les personnages attachants et les pages se tournent sans s'en rendre compte. - NLG, Babelio
Un bijou parfaitement construit ! - Limoncella, Babelio
À PROPOS DE L'AUTEUR
Olivier Kourilsky, alias le Docteur K, est médecin néphrologue, professeur honoraire au Collège de médecine des Hôpitaux de Paris ; il a dirigé le service de néphrologie du Centre Hospitalier Sud-Francilien
Il écrit des romans policiers depuis un peu plus de dix ans et a publié six ouvrages depuis 2005, dont Meurtre pour de bonnes raisons, prix Littré 2010.
Ses personnages évoluent souvent dans le monde hospitalier, entre les années soixante et aujourd'hui. Au fil du temps, on suit le professeur Banari, le commissaire Maupas, le commandant Chaudron, jeune policière chef de groupe à la Crim'...
Olivier Kourilsky est membre de la Société des gens de lettres et de la Société des auteurs de Normandie. -
Le corps d'un trafiquant de cannabis est retrouvé près de la frontière espagnole, affreusement mutilé. Or, l'individu, connu de la police, avait été déclaré mort deux ans plus tôt. Sur le chemin de l'enquête, alors qu'un tueur redoutable vient de s'évader, les accidents et les cadavres s'accumulent. Dans cette histoire aux rebondissements multiples, le Dr K fait appel à quelques-uns de ses personnages fétiches.
À PROPOS DE L'AUTEUR
Olivier Kourilsky est professeur honoraire au Collège de médecine. Il a publié neuf polars, tous aux Éditions Glyphe, dont Meurtre pour de bonnes raisons (prix Littré 2010), Le Septième péché (Prix du polar d'Aumale 2014) et Marche ou greffe?! (prix du Rotary club international 2018). Il a aussi écrit ses mémoires?: La Médecine sans compter. -
Une nouvelle enquête policière pour le Docteur K, au coeur du métro parisien !
Un producteur de films X et un proxénète sont sauvagement assassinés coup sur coup. Les prélèvements d'ADN accablent un prêtre de Saint-Séverin. Mais pourquoi l'homme d'Église mènerait-il une telle croisade contre le vice ? Et qui est la mystérieuse inconnue qui envoie des messages aux victimes le jour de leur mort ?
Claude, la jeune chef de groupe de La Crim', doit résoudre l'énigme si elle veut gagner le respect de toute l'équipe.
Dans ce nouvel épisode de sa saga policière, le Docteur K, Prix Littré 2010, nous entraîne dans le dédale des stations fantômes du métro parisien.
Un roman noir au suspense haletant...
CE QU'EN PENSE LA CRITIQUE
Avec humour, multipliant les renvois amusés à ses thrillers précédents, distillant quelques anecdotes sur sa (longue) vie de praticien hospitalier, ne comptant pas les pistes brouillées et les indices tortueux, Olivier Kourilsky s'amuse à nous faire tourner d'un côté et de l'autre. - Aurélie Haroche, JIM Plus
Le style est enlevé, rythmé et l'écriture facilement abordable n'est pas dénuée d'humour permettant quelques respirations nécessaires entre deux assassinats ! - Maryline Martin, Le Lire, le Dire mais aussi Ecrire...
EXTRAIT
Le Père Louis Auffret ferma la porte du presbytère et descendit les marches du perron pour emprunter la rue des prêtres Saint-Séverin. Il longea le jardin et entra dans l'église. Il lui restait une quinzaine de minutes avant la messe de dix-neuf heures.
Le lieu saint était maintenant presque vide. Un peu plus tôt, vers dix-sept heures, deux artistes avaient interprété une version pour orgue et violoncelle des Quatre saisons. Les soirées rallongeaient en ce mois de mai, et les touristes qui se pressaient dans le quartier étaient venus en nombre, attirés par les tracts distribués rue Saint-Séverin et par les affiches apposées à l'entrée. Il y aurait sûrement moins d'affluence à l'office de semaine...
Le jeune prêtre se signa à l'entrée et contempla le spectacle qui s'offrait au visiteur. L'architecture gothique et les vitraux de cette église, la plus ancienne de la rive gauche, incitaient au recueillement.
À PROPOS DE L'AUTEUR Olivier Kourilsky, alias le Docteur K, est médecin néphrologue, professeur honoraire au Collège de médecine des Hôpitaux de Paris ; il a dirigé le service de néphrologie du Centre Hospitalier Sud-FrancilienIl écrit des romans policiers depuis un peu plus de dix ans et a publié six ouvrages depuis 2005, dont Meurtre pour de bonnes raisons, prix Littré 2010.Ses personnages évoluent souvent dans le monde hospitalier, entre les années soixante et aujourd'hui. Au fil du temps, on suit le professeur Banari, le commissaire Maupas, le commandant Chaudron, jeune policière chef de groupe à la Crim'...Olivier Kourilsky est membre de la Société des gens de lettres et de la Société des auteurs de Normandie.
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Une course poursuite alarmante menée par le commissaire Maupas !
Émoi à la Crim' : l'ex-divisionnaire Buchot est assassiné à son domicile. L'arme du crime est le Beretta de Machefer, flic pourri abattu par le commissaire Maupas quinze ans plus tôt. Sur les lieux, on trouve un mot signé de Machefer, annonçant que sa vengeance ne fait que commencer. Au même moment, la fille du professeur Banari est arrêtée au Laos avec son compagnon, en possession d'héroïne. Claude Chaudron, la chef de groupe, et son équipe doivent protéger les cibles présumées et démasquer le « zombie » au plus vite. Une course de vitesse angoissante, supervisée par Maupas.
Avec son sixième polar, le Docteur K. nous embarque dans une enquête angoissante, entre manipulation et vengeance.
EXTRAIT
Les gyrophares des voitures de police tournoyaient, et les éclairs bleus illuminaient à intervalles réguliers les pavillons avoisinants, troublant la tranquillité de cette zone résidentielle du Perreux. Des voisins étaient sortis pour regarder, tenus à distance par les policiers et les rubans jaune fluo protégeant la scène de crime.
À l'intérieur, dans la salle de séjour, Maupas, les mâchoires serrées, contemplait le ballet des techniciens de l'IJ revêtus de leur combinaison blanche, gantés, coiffés et masqués comme des chirurgiens. C'est le groupe de Claude Chaudron qui avait dérouillé. L'émotion étreignait les intervenants, qui travaillaient dans un silence pesant. Le médecin légiste effectuait les premières constatations lorsque Maupas était arrivé sur place, croisant au passage le procureur adjoint, venu lui-même sur la scène de crime.
Buchot était assis dans son fauteuil, la tête reposant sur sa poitrine, le crâne explosé par un projectile de gros calibre, tiré dans la nuque à bout portant. Le sang et la cervelle maculaient tout, le siège, ses vêtements et le tapis. Il était encore en gilet de laine et pantalon de velours, sa tenue favorite.
CE QU'EN PENSE LA CRITIQUE
Une nouvelle réussite où le style d'Olivier Kourilsky, ciselé au scalpel et ne laissant rien au hasard fait une fois encore merveille. - Le Généraliste
Olivier Kourilsky nous offre un roman rythmé au suspense maîtrisé. Dans cette traditionnelle intrigue policière, il nous balade à sa guise, dirigeant tour à tour les soupçons sur plusieurs membres de l'équipe du commandant Chaudron, créant ainsi son lot de fausses pistes.- Carine Boulay, Le noir émoi
À PROPOS DE L'AUTEUR
Olivier Kourilsky, alias le Docteur K, est médecin néphrologue, professeur honoraire au Collège de médecine des Hôpitaux de Paris ; il a dirigé le service de néphrologie du Centre Hospitalier Sud-Francilien
Il écrit des romans policiers depuis un peu plus de dix ans et a publié six ouvrages depuis 2005, dont Meurtre pour de bonnes raisons, prix Littré 2010.
Ses personnages évoluent souvent dans le monde hospitalier, entre les années soixante et aujourd'hui. Au fil du temps, on suit le professeur Banari, le commissaire Maupas, le commandant Chaudron, jeune policière chef de groupe à la Crim'...
Olivier Kourilsky est membre de la Société des gens de lettres et de la Société des auteurs de Normandie. -
Révélations surprenantes dans le milieu pharmaceutique...
Qui donc a assassiné Margaret, cette belle Anglaise d'âge mûr, femme solitaire, bras droit du président??
Le commissaire Juillard mène une enquête délicate dans un grand laboratoire pharmaceutique. Aidé du docteur Fugon, il découvre des pratiques inquiétantes...
Une affaire qui fait écho aux scandales qui ont récemment défrayé l'actualité.
Roger Caporal, médecin endocrinologue, nous donne à découvrir, une nouvelle fois, des personnalités complexes et des situations ambiguës.
EXTRAIT
- Bonjour Oncle Louis, j'ai besoin de ton avis.
- Ce premier remplacement se passe bien ?
- Oui. En plein Paris, dans le XIXe. Mais j'ai besoin de ton avis d'urgence.
- Laurent, pour les urgences, je ne suis pas le mieux placé.
- Justement, je suis auprès d'une morte. Mon concierge m'a appelé, car son appartement est situé dans le même grand immeuble, une vraie tour, où je travaille tout le mois. La veille, cette femme l'avait chargé d'accompagner le plombier chez elle et lui avait remis ses clefs. Après avoir sonné et tambouriné, vers 9 h 30, sans obtenir de réponse, ils ont ouvert et ils l'ont trouvée comme endormie.
- Elle succombait à son dernier sommeil...
- Oui ! Je suis auprès d'elle. Apparemment la mort l'a surprise au lit. Elle était couchée sur le côté droit, son drap remonté jusqu'à l'aisselle. Sa main en enserre le bord, tout le bras gauche replié repose sur le drap. Sa tête est un peu enfouie dans l'oreiller, ses yeux sont fermés...
- Tu as soulevé le drap ?
- Oui. J'ai pu suffisamment la dégager. Ça n'a pas été simple car elle est un peu entortillée dedans, et elle est pas mal raide...
- Elle est donc morte dans la nuit. As-tu remarqué quelque chose d'anormal ?
- Non, rien, Oncle Louis. Aucune trace de blessures, pas de saignement, ni de marques sur le corps ; elle est nue ; pas étonnant vu cette chaleur. Les draps sont propres, le corps me semble intact...
À PROPOS DE L'AUTEUR
Roger Caporal est né à Montmartre et habite Saint Germain des Près. Il devient médecin et se spécialise en endocrinologie-diabétologie, après avoir exercé pendant son service militaire dans la Légion Étrangère (2ème REI et 2ème REP). Roger Caporal s'est intéressé au théâtre et à la danse. Il est l'auteur de trois romans policiers parus aux Editions Glyphe qui mettent en scène deux personnages récurrents, le commissaire Juillard et le docteur Fugon, médecin-légiste. -
Stupeurs dans un cabinet dentaire.
Tout accuse Gilles Vuizelle, remarquable dentiste, comme l'assassin de Barbara, jeune comédienne en vogue. Le commissaire Juillard et le docteur Fugon, médecin-légiste, reprennent du service dans les quartiers populaires de Montmartre.
Roger Caporal remet en scène les deux personnages dont la collaboration avait contribué au succès de Meurtre au cours de danse !
EXTRAIT
Il n'y avait pas eu effraction.
- C'est un familier qui a fait le coup, Patron. Il fallait avoir la clef pour ouvrir une cette serrure !
- À moins qu'elle lui ait ouvert ?...
- En pleine nuit ? Pourquoi pas ? C'est tout de même peu plausible !
- Vous avez raison. Il est plus improbable encore qu'elle lui ait ouvert dans la soirée et qu'il soit parti dans la nuit. L'ensemble du duplex, notamment la chambre à coucher, ne livre aucune trace d'une compagnie de quelque durée. L'autopsie confirmera certainement que la mort ne remonte pas à hier au soir.
Aucun désordre dans ce chic studio, seule la présence choquante de cette femme rousse affalée et poignardée, dont la grâce protestait contre l'horreur de sa mort.
- Finalement Degert, l'hypothèse la plus vraisemblable est qu'elle connaissait l'assassin, suffisamment pour qu'elle lui ait donné ses clefs.
L'interrogatoire de la concierge n'avait pas apporté grand-chose. Barbara vivait seule, rentrait comme tous les comédiens, tard le soir, voire bien après minuit. Parfois elle ne rentrait pas ou partait pour quelques jours. Elle recevait rarement, organisait peu de cocktails ou de dîners. Cette concierge-cerbère ne gardait pas le souvenir d'un visage familier, pour lui faire évoquer une liaison ou une amitié intime.
À PROPOS DE L'AUTEUR
Roger Caporal est né à Montmartre et habite Saint Germain des Près. Il devient médecin et se spécialise en endocrinologie-diabétologie, après avoir exercé pendant son service militaire dans la Légion Étrangère (2ème REI et 2ème REP). Roger Caporal s'est intéressé au théâtre et à la danse. Il est l'auteur de trois romans policiers parus aux Editions Glyphe qui mettent en scène deux personnages récurrents, le commissaire Juillard et le docteur Fugon, médecin-légiste. -
Deux intrigues en une pour un polar impossible à lâcher...
Agnès Bourdin cache une blessure profonde. Elle n'a jamais connu son père, mort pendant la guerre d'Algérie.
Dans le service de chirurgie très réputé où elle vient de décrocher un poste, une série d'évènements bizarres trouble le quotidien de l'hôpital. Tandis que chacun suspecte tous les autres, Agnès se penche sur le passé de son père. Quel homme était-il en réalité ? Que s'est-il passé en Algérie ?
D'autres événements secouent le quartier. Un tueur en série, plusieurs peut-être, rôde près de Barbès. Le commissaire Maupas mène les deux enquêtes de front, avec l'aide discrète de son collègue Machefer.
Dans cette intrigue palpitante et humaniste, on retrouve avec plaisir plusieurs protagonistes des deux premiers romans d'Olivier Kourilsky, Meurtre à la morgue et Meurtre avec prémédication, également disponibles en numérique.
EXTRAIT
- Debout là-dedans ! On y va !
Les types se lèvent mécaniquement. Ils avalent leur café en silence et montent dans les camions. Bientôt, ils roulent dans la nuit. L'air est encore frais. Ils tiennent leur fusil entre les genoux.
L'opération a été annoncée la veille. Il faut rechercher des armes dans un village voisin. Et, si possible, retrouver la trace des fellouzes qui ont attaqué une jeep de reconnaissance hier matin. L'assaut a dû être très brutal. Les trois occupants n'ont manifestement pas eu le temps de réagir. Ils ont été criblés de balles, leur armement volé, le véhicule incendié. Nous les connaissions tous bien. L'un d'entre eux était à un mois de la quille... Et le jour précédent, c'est un de nos informateurs, un garçon de dix-neuf ans, qui a été retrouvé égorgé non loin d'ici, le sexe sectionné enfoncé dans la bouche. Le fameux sourire kabyle et l'humiliante castration. Un avertissement. Cette vision d'horreur ne me quitte plus.
CE QU'EN PENSE LA CRITIQUE
Séduite par ce livre et par l'élégance de la plume du Dr K, je n'en ai fait qu'une bouchée ... voilà de « bonnes raisons » de le lire ! - Carine Boulay, Babelio
À PROPOS DE L'AUTEUROlivier Kourilsky, alias le Docteur K, écrit des romans policiers depuis un peu plus de dix ans. Il s'est rapidement imposé comme une star dans le genre du thriller et fait de fréquentes apparitions dans les médias, soit en tant que maître du polar, soit en sa qualité de médecin néphrologue.Il est également membre de la Société des gens de lettres et de la Société des auteurs de Normandie.
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Sueurs froides sur la piste de danse...
Béryl, belle danseuse sportive, aimée et respectée, est assassinée au cours de danse qu'elle dirige avec son époux. Un meurtre audacieux, commis en pleine soirée de gala... dont elle était la vedette.
L'auteur signe une énigme passionnante, dans l'atmosphère de la danse de salon et du tango argentin !
EXTRAIT
Stéphanie et Marine avaient repris leur conversation à l'une des entrées de la salle. Marine fut bientôt sollicitée par Charles-Édouard, un Monsieur d'un certain âge et de belle allure, qui l'entraîna sur la piste, tandis que Stéphanie déclinait les invitations en souriant d'un air gêné, au prétexte de sa totale inexpérience. Machinalement, elle suivit du regard un groupe de personnes quittant le vestiaire pour s'en aller. C'est alors qu'elle aperçut Pierre, surgissant du fond du couloir, chancelant, le teint terreux, le regard hagard, de toute évidence en proie à une violente émotion.
« Que vous arrive-t-il ? Vous avez mal quelque part ? » lui demanda Stéphanie en s'approchant de lui.
« Je... vous en prie... prévenez Mario... Carlos... Caro... » bredouilla Pierre émergeant de sa stupeur et se laissant tomber sur le banc du vestiaire, la tête dans ses mains.
Caroline apparaissait justement, sortant de la salle. Devant les signes d'urgence de Stéphanie, elle se précipita. « Pierre, Pierre, qu'est-ce que tu as ? Tu es malade ? », dit-elle en s'agenouillant et en cherchant son regard. Pierre leva lentement la tête, le visage mouillé de larmes et balbutia « Bé-ryl ! »
Caroline se rua au fond du couloir vers la porte entrouverte et franchit le seuil de la pièce du fond, suivie par Stéphanie qui par discrétion, resta en retrait dans l'antichambre jonchée de costumes épars. En fait, seul un rideau séparait en deux cette studette. Mais un cri d'horreur de Caroline la propulsa de l'autre côté. Sur un lit d'angle, Béryl gisait nue, de travers, une jambe pendante, étreignant encore un drap de bain, les yeux grand ouverts, inanimée, un poignard planté sous le sein gauche.
À PROPOS DE L'AUTEUR
Roger Caporal est né à Montmartre et habite Saint Germain des Près. Il devient médecin et se spécialise en endocrinologie-diabétologie, après avoir exercé pendant son service militaire dans la Légion Étrangère (2ème REI et 2ème REP). Roger Caporal s'est intéressé au théâtre et à la danse. Il est l'auteur de trois romans policiers parus aux Editions Glyphe qui mettent en scène deux personnages récurrents, le commissaire Juillard et le docteur Fugon, médecin-légiste. -
Qui veut la peau de Francis Liotais, entrepreneur frivole et sans histoire ? À lui de le découvrir...
Francis Liotais, représentant d'une entreprise de matériel médical, est un joyeux célibataire, aussi charmant que volage. Mais le meurtre d'une de ses conquêtes menace sa tranquillité. Il suspecte une autre de ses maîtresses, une amante violemment jalouse.
Dans le même temps, ses clients se plaignent de livraisons incomplètes ; et ce qui semblait au début une simple négligence se reproduit avec une régularité inquiétante.
Lié aux deux affaires, Francis mène sa propre enquête sans se douter qu'il s'expose lui-même à un grand danger.
Ce roman a reçu le Prix Littré 2010.
Retrouvez sans plus tarder le sympathique commissaire Maupas dans ce quatrième roman du Docteur K !
EXTRAIT
Aussi loin que je me rappelle, j'ai toujours été comme ça. Impossible de me contenter d'une seule. Dès l'école, à cette période de l'enfance où chacun a sa petite copine, j'en avais trois en même temps. Souvent, deux d'entre elles rentraient à la maison en pleurant parce que j'étais resté avec une autre à la récré. Après, elles boudaient pendant plusieurs jours. Mais j'arrivais presque toujours à me faire pardonner. Je savais instinctivement que j'avais du charme et comment m'en servir. J'étais déjà très baratineur et d'un culot sans limites.
Mes parents ne s'en formalisaient pas trop. J'étais fils unique et ils avaient près de trente ans lorsque j'étais né. Ils se montraient volontiers d'une indulgence coupable à mon égard. Surtout ma mère qui était secrètement très fière de me voir rencontrer un tel succès.
CE QU'EN PENSE LA CRITIQUE
Un véritable thriller digne d'être porté à l'écran qui se lit tout d'une traite. - Jean-Pierre Allali, À lire, À voir, À écouter, Crif
À PROPOS DE L'AUTEUR
Olivier Kourilsky, alias le Docteur K, est médecin néphrologue, professeur honoraire au Collège de médecine des Hôpitaux de Paris ; il a dirigé le service de néphrologie du Centre Hospitalier Sud-Francilien
Il écrit des romans policiers depuis un peu plus de dix ans et a publié six ouvrages depuis 2005, dont Meurtre pour de bonnes raisons, prix Littré 2010.
Ses personnages évoluent souvent dans le monde hospitalier, entre les années soixante et aujourd'hui. Au fil du temps, on suit le professeur Banari, le commissaire Maupas, le commandant Chaudron, jeune policière chef de groupe à la Crim'...
Olivier Kourilsky est membre de la Société des gens de lettres et de la Société des auteurs de Normandie. -
« Parmi toutes les infractions prévues par la Loi, le meurtre est l'infraction suprême, celle que rien ne saurait excuser »
Qui a tué Annie, une jeune provinciale sans histoires montée tenter sa chance à Paris et retrouvée le crâne fracassé dans une ruelle sordide ?
Que fait un nain ligoté et étranglé dans les eaux troubles du lac du parc des Buttes Chaumont ?
Et pourquoi les morts ne laissent-ils pas dormir en paix le commandant Capelli, vieux flic au bout du rouleau qui se demande s'il n'a pas raté sa vie ?
Pour tenter de répondre à ces questions, les policiers de la Brigade Criminelle vont devoir une nouvelle fois plonger en apnée au plus profond et au plus sombre de l'âme humaine.
Un polar captivant et plein d'humour dans les coulisses du 36 quai des Orfèvres.
EXTRAIT
Le commandant de police Jean Capelli se releva péniblement en rabattant la couverture sur le visage ensanglanté de la morte.
Non loin de lui, appuyé nonchalamment sur le capot de leur voiture, le lieutenant Olivier Perrin finissait de remplir l'ordre d'envoi à l'Institut médico-légal où le corps irait attendre patiemment son tour sur la liste des cadavres à autopsier. La morgue avait la particularité d'être la seule administration française où les usagers acceptaient de faire la queue sans récriminations.
A PROPOS DE L'AUTEUR
Jean-Paul Copetti est commandant de Police au 36 quai des Orfèvres à Paris.
Il est chef d'un groupe d'enquête à la Brigade Criminelle et depuis presque trente ans essaie de résoudre des affaires de meurtre.
Pour le repos des morts est son premier roman. -
L'incompréhension cède la place à la paranoïa dans ce polar haletant signé Olivier Kourilsky...
Juillet 1974. Joël Lecouedec, chef de clinique en réanimation à l'hôpital Saint-Antoine à Paris, trouve dans son blouson un porte-cartes contenant des papiers au nom d'une certaine Françoise Morvan. Qui a glissé ces documents dans sa poche et pourquoi ? Plus intriguant encore, la propriétaire habite tout près de chez ses parents, en Bretagne nord. Cependant, au cours de ses recherches, Joël apprend qu'elle a quitté sa famille quelques mois auparavant pour s'installer à Paris avec un individu peu recommandable. Lorsqu'il appelle leur domicile, il tombe sur des policiers. La jeune fille vient d'être assassinée. Aussitôt traité comme un suspect, il a les plus grandes peines du monde à se disculper. Son trouble augmente d'autant plus lorsqu'il est confronté au petit ami de la victime, apparemment innocent. Il a l'impression de l'avoir déjà rencontré...
Deux semaines plus tard, à peine retourné dans sa famille à Saint-Lunaire pour y passer ses vacances, il retrouve le compagnon de la morte, qui traîne dans les boîtes de nuit de la région. Avec l'aide du jeune frère de la victime, il tente de lui tirer les vers du nez, sans succès. Deux jours plus tard, il découvre son cadavre en explorant les galeries du blockhaus de la Garde Guérin.
Dès lors, son séjour devient un cauchemar. Que se trame-t-il à La chaumière, la boîte la plus fréquentée du coin ? Qui est vraiment Christine, cette jeune femme de bonne famille qui est venue à Saint-Briac pour la première fois chez des amis, et dont il se sent tomber éperdument amoureux ? Quel jeu joue l'énigmatique inspecteur Machefer, venu tout spécialement de Paris pour continuer l'enquête, et qui semble toujours le soupçonner ? Pourquoi cherche-t-on à le tuer ? Joël en vient à douter de tout le monde, y compris de ses propres amis. La solution se trouve-t-elle dans les galeries abandonnées de ce blockhaus, qu'il connaît comme sa poche ? Il va y croiser un tueur diabolique.
Le dénouement, dramatique, se jouera seulement après son retour dans la capitale. Mais est-ce vraiment la fin ?
Une intrigue placée sous le signe du suspense permanent, dans l'inoubliable décor de la Côte d'Émeraude !
EXTRAIT
Le 86 était plein à craquer. Joël l'avait attrapé en face de l'hôpital Saint-Antoine et s'était faufilé tant bien que mal jusqu'au milieu. Il avait la nostalgie des bus des années soixante, avec leurs contrôleurs qui portaient sur le ventre leur machine à composter les billets et tiraient à plusieurs reprises sur une chaîne ressemblant à une vieille chasse d'eau, et ce ding-ding caractéristique qui donnait au conducteur le signe du départ. Mais ces modèles bruyants et dépassés avaient disparu depuis quelques années.
À PROPOS DE L'AUTEUR
Olivier Kourilsky, alias le Docteur K, est médecin néphrologue, professeur honoraire au Collège de médecine des Hôpitaux de Paris ; il a dirigé le service de néphrologie du Centre Hospitalier Sud-FrancilienIl écrit des romans policiers depuis un peu plus de dix ans et a publié six ouvrages depuis 2005, dont Meurtre pour de bonnes raisons, prix Littré 2010.Ses personnages évoluent souvent dans le monde hospitalier, entre les années soixante et aujourd'hui. Au fil du temps, on suit le professeur Banari, le commissaire Maupas, le commandant Chaudron, jeune policière chef de groupe à la Crim'...Olivier Kourilsky est membre de la Société des gens de lettres et de la Société des auteurs de Normandie.
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La nouvelle enquête du commandant Capelli au 36 quai des Orfèvres
Qui a abattu d'une balle dans la tête Romuald Valmorel, un banquier septuagénaire à la retraite ? Et pourquoi retrouve-t-on à ses côtés une statuette du dieu hindou Ganesh ?
Le commandant Jean Capelli, chef de groupe à la Brigade Criminelle, et son équipe tentent de répondre à ces questions.
Les policiers sont loin de se douter que cette enquête pas ordinaire les conduira de surprises en surprises. De vieilles angoisses planent sur le sommeil de Capelli, vieux flic désabusé.
Après Pour le repos des morts, Les Sanglots des Danaïdes est le second roman du Commandant Copetti. On y retrouve le personnage de Capelli et le quotidien des flics de la Crim' qui oscille souvent entre la comédie et la tragédie la plus sombre.
Un roman policier dans la grande tradition du genre
EXTRAIT
Avec une profonde satisfaction, Romuald Valmorel contempla son image dans l'immense miroir vénitien fin XVIIIe siècle fixé dans l'entrée de son vaste appartement. À presque soixante-dix ans, l'ancien banquier conservait toujours une heureuse silhouette de jeune homme. Sa chevelure blanche, soigneusement coiffée en vagues à reflets gris-bleu, avait été miraculeusement épargnée par les ravages de la calvitie. Son sourire avenant, dont il n'était d'ailleurs pas avare, montrait une dentition éclatante en parfait état. La fortune qu'il avait dépensée en soins dentaires, ces dernières années, n'avait pas été vaine. Lorsqu'il regardait ses interlocuteurs, en fronçant les sourcils et en adoptant un air vaguement ironique très étudié, la tête légèrement penchée sur le côté, il estimait qu'avec ses yeux clairs il ressemblait à Paul Newman ou bien encore à Stewart Granger, selon son humeur du jour.
A PROPOS DE L'AUTEUR
Jean-Paul Copetti est commandant de Police au 36 quai des Orfèvres à Paris.
Il est chef d'un groupe d'enquête à la Brigade Criminelle et depuis presque trente ans essaie de résoudre des affaires de meurtre. -
Une jeune anglaise est morte. Coup de théâtre, sa soeur jumelle fait son entrée. Le trouble gagne Benjamin... Mais qui était vraiment Lily-Rose ?
Le corps de la jeune femme fut retrouvé par un promeneur au pied du fort de la Hougue, face au parc à huîtres de l'anse du Cul de Loup. L'ordonnance de sa chevelure auburn était à peine défaite. Encore grands ouverts, deux yeux étonnés semblaient en quête d'un rêve interrompu. Ses traits fins évoquaient un modèle de Botticelli. Sa peau, légèrement bronzée, transparaissait dans l'échancrure d'un chandail de marque acheté aux derniers soldes de chez Harrods.
Un polar haletant au style presque poétique qui mêle habilement enquêtes, plongées sous-marines et références historiques.
EXTRAIT
- Puisque vous étiez son ami, j'aurai évidemment des questions à vous poser.
- Comptez sur moi, je serai là. Puis-je la voir une dernière fois ?
D'un geste, l'officier de police l'autorisa à monter dans le fourgon où se trouvait le corps. Comme le jour déclinait, on lui prêta une torche électrique. Le jeune homme fut saisi de cet étonnement qui étreint le coeur humain quand l'être aimé est devenu une ombre errante, indifférente au soir montant, aux lignes qui s'assombrissent. Il constata qu'elle ne portait pas son collier habituel. Sans doute avait-elle été victime d'un rôdeur, ou d'un de ces immigrés venus du diable Vauvert qui errent affamés dans les campagnes avant d'essayer d'embarquer clandestinement à Cherbourg vers cet eldorado improbable qu'est l'Angleterre. Pour les enquêteurs, il importait de savoir si le meurtre avait eu lieu à l'endroit de la découverte du corps, ou si l'assassin l'y avait amené pour brouiller les pistes.
CE QU'EN PENSE LA CRITIQUE
L'écriture est celle qui caractérise l'écrivain : bien léchée, précise dans les faits et poétique lorsqu'il s'agit de décrire ce Cotentin qu'il aime tant. - Ouest France
À PROPOS DE L'AUTEUR
Maurice Lecoeur est l'auteur de vingt-six ouvrages ayant reçu plusieurs prix littéraires, dont le Prix des Libraires de Normandie et le Prix littéraire du Cotentin. Le Meurtre de Lily-Rose fait suite, entre autres, au Talisman perdu (Éditions Glyphe), à La Digue écarlate, et à La Ferme des Source (Éditions Isoète). -
À Barneville, la fille d'un banquier se fait mystérieusement enlever durant ses vacances chez une amie...
L'enlèvement, sur la plage de Barneville, de Chloé Vellini, une jeune fille en vacances chez une amie, met en émoi cette station balnéaire du Cotentin. À Paris, le père de Chloé, un banquier mêlé à des affaires immobilières sur la Côte d'Azur, croit à une pression de concurrents mafieux. Mais ce sont peut-être les amis de Chloé qui vont découvrir le fin mot de l'histoire.
La Disparue de Barneville fait suite à près d'une trentaine d'ouvrages pour lesquels Maurice Lecoeur a reçu plusieurs prix littéraires, comme le Prix des Libraires de Normandie ou le Prix littéraire du Cotentin. Il est l'auteur, entre autres, aux Éditions Glyphe, du Meurtre de Lily-Rose et du Fantôme de Marie Laurencin.
Qui se cache derrière cet étrange enlèvement ? Suivez les amis de Chloé dans une enquête pleine de suspense en bord de mer, avec ce polar normand trépidant !
EXTRAIT
- Et il vous a emmenée aux Deux Magots.
Elle sursaute :
- Comment le savez-vous ?
- Peu importe. Il vous a posé plein de questions sur moi et vous lui avez parlé de la disparition de Chloé.
- Oui, c'est à peu près ça. Je suis vraiment désolée.
- Je suppose qu'il va vous recontacter ?
- Sans doute.
- À partir de maintenant, enregistrez tous ses appels. Je veux que vous notiez toutes les questions qu'il vous posera. Et faites-moi une copie de son mail.
- Bien Monsieur.
Sans plus tarder, il juge bon d'informer la gendarmerie de Barneville de la teneur du message. Puis il appelle sa femme qui panique un peu :
- Mon Dieu elle aurait été enlevée ? Et ce serait lié à tes affaires ?
- Je n'y crois pas, je suis sûr que ce type bluffe. Mais à tout hasard, tu dois joindre dès que possible ta relation au ministère de l'Intérieur. Qu'il fasse peut-être intervenir les Renseignements Généraux, ou je ne sais quel service, pour enquêter sur ce Bobescu. Il ne faut rien négliger.
À PROPOS DE L'AUTEUR
Maurice Lecoeur, né en 1934, à Sainte-Mère-Église, est un écrivain de la Manche. Il grandit sur la place du village de Sainte-Mère-Église, où il assiste au parachutage des troupes alliées. Il fuit sa maison avec sa mère qui meurt sous ses yeux, touchée par un éclat d'obus. Il étudie à Institut Saint-Paul de Cherbourg puis est diplômé de l'école de notariale de Paris. Promoteur immobilier puis conseiller juridique à Paris, il revient dans la Manche lors de sa retraite. Il est sociétaire de la Société des gens de lettres de France et de la Société des auteurs de Normandie. Maurice Lecoeur est l'auteur de différents ouvrages pour lesquels il a obtenu plusieurs prix littéraires, dont le Prix des libraires de Normandie en 1994, et le Prix littéraire du Cotentinen 1996. -
Les enquêtes ornithologiques de Louise van Sponkerverkrofchtenberg, fille putative du commissaire San-Antonio - Dans Pipo, Programme International de Protection des Oiseaux, y'a d'abord programme, et ce premier opus de mes aventures, c'en est tout un ! Il y a aussi international, même que je trimballe mes jarretelles de la Belgique à l'Afrique du Sud ! Il y a aussi oiseau, en l'occurrence ici des autruches, le volatile le plus débile de la galaxie. Tout ça pour te dire que le Pipo, c'est pas du pipeau. Quoique ! Mais t'as qu'à t'en rendre compte par toi-même, vu que ce chef-d'oeuvre n'est vendu que 14 euros, même pas le prix d'une plume d'autruche.
À PROPOS DE L'AUTEURE
Née d'un père inconnu (mais que la rumeur désigne comme étant le commissaire San-Antonio) et d'une mère trop connue, Louise van Sponkerverkrofchtenberg est le nom d'emprunt d'une célèbre diplomate d'Alabanie orientale en poste à Paris. -
La Sologne. Une partie de chasse. Sur son mirador, Maxime Chabert s'effondre, mortellement blessé. Accident?? meurtre?? La victime n'avait pas que des amis... L'inspecteur Laclet, dépêché de Paris, enquête auprès des chasseurs et de l'entourage de Chabert. Il nous entraîne au bord des étangs et au coeur de la forêt solognote.
À PROPOS DE L'AUTEUR
Agnès Gougerot a déjà publié L'Ombre rayée du zèbre et Entrelacs aux Éditions Glyphe. Avec ce troisième roman, elle nous livre une part de sa vie dans sa terre d'adoption, la Sologne. Auteure, photographe, artiste peintre et sculptrice, elle écrit ce qu'elle ressent, elle décrit ce qu'elle observe. -
Morts à Venise : les pigeons se ramassent à la pelle
Louise Van Sponkerverkrofchtenberg
- Glyphe
- 13 Octobre 2021
- 9782369341871
Les enquêtes ornithologiques de Louise van Sponkerverkrofchtenberg, fille putative du commissaire San-Antonio.
- Tu ne vas pas être déçue par ton autrice préférée pour ce nouvel opus délit. De l'action presque gratuite (toujours 14 euros, malgré l'inflation galopante), des bons mots et des beaux maux, des moins bons aussi, qui permettent aux bons d'être encore meilleurs, quelques contrepets foireux comme les fientes de pigeons de cette fable moderne. De l'espionnage qui ferait passer John Le Carré pour une bille, du romantisme qui pourrait faire passer Chateaubriand pour un steak, et encore et toujours du stupre et de la fornication qui pourraient faire passer Brigitte Lahaie pour Mère Teresa... Direction Venise, cette fois ; l'inoubliable Venise et ses canaux, ses gondoles, son carnaval, sa place Saint-Marc et... ses pigeons qui meurent par centaines. À PROPOS DE L'AUTEURELouise van Sponkerverkrofchtenberg est le nom d'emprunt d'une célèbre diplomate d'Alabanie orientale en poste à Paris. Elle publie sa deuxième aventure, après Quand trépassent les autruches ! chez le même éditeur.