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roger coupannec
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On découvre, près de la Collégiale de Guérande, un cadavre réfrigéré curieusement fagoté. Une autre mort mystérieuse, une disparition inquiétante et la rumeur rend l'air irrespirable. Bientôt on soupçonne ses voisins, ses amis, ses parents.
Qui se cache derrière le Crabe vert ?
Quelle peut bien être la motivation de ce détraqué sanguinaire ?
Il faudra à Jo Morel, journaliste de La Vigie, toute sa sagacité pour reconstituer ce puzzle machiavélique.
Et la surprise sera de taille !
Roger Coupannec vivait au Pouliguen au milieu de la Presqu'île guérandaise, entre mer et marais salants. Retraité de l'Éducation nationale, il a su mettre à profit quatre années de correspondant de presse, excellente école d'observation et de concision.
Son héros, Jo Morel, n'est pas bavard mais quand il enquête pour son journal La Vigie rien ne l'arrête. À tel point qu'on l'a baptisé dans la région « le fouille-marais ». -
Un peu partout entre Saint-Nazaire et Piriac-sur-Mer, un tag mystérieux apparaît : il représente un papillon à tête de mort. Bientôt plusieurs crimes se succèdent, tous signés du papillon mortel. Les victimes appartiennent à la bourgeoisie locale.
La Presqu'île guérandaise est en émoi.
On s'interroge.
- Y avait-il dans leur passé des zones d'ombre ?
- Assiste-t-on à des règlements de comptes des caïds du milieu nantais ?
- S'agit-il d'un complot anarchiste ?
- Est-ce une campagne terroriste internationale ?
Jo Morel, le correspondant local de La Vigie est d'autant plus intrigué que la première victime est morte presque sous ses yeux. Sa curiosité tenace dérange encore.
Roger Coupannec vivait au Pouliguen au milieu de la Presqu'île guérandaise, entre mer et marais salants. Retraité de l'Éducation nationale, il a su mettre à profit quatre années de correspondant de presse, excellente école d'observation et de concision.
Son héros, Jo Morel, n'est pas bavard mais quand il enquête pour son journal La Vigie rien ne l'arrête. À tel point qu'on l'a baptisé dans la région « le fouille-marais ». -
Sur la Presqu'île guérandaise, une société secrète mijote un menu salé : cadavre de député et de curé à l'apéritif, et enlèvement au dessert. Dans les marais salants, entre Le Pouliguen, La Baule et Guérande sévit un tueur qui a déjà cinq victimes à son actif. La gendarmerie est sur les dents. S'agit-il d'un déséquilibré, d'un exécuteur, d'un vengeur, d'un terroriste ? Se cache-t-il dans la cité des Alouettes, promise par certains à la démolition, au milieu de jeunes très organisés ? Une mystérieuse grille de mots croisés contiendrait des indices sur la prochaine victime. Mais alors, qui l'a adressée à Jo Morel, le correspondant du journal local ? Et voilà qu'on enlève l'épouse d'un notable ! Dans un climat de suspicion générale, le journaliste dérange et on le lui fait sentir. Il ne fait parfois pas bon se hasarder dans le dédale des marais salants ou dans les halliers de la Brière quand s'acharne sur vous une société secrète, au service d'intérêts très particuliers, qui s'apparente au Ku Klux Klan.
Roger Coupannec vivait au Pouliguen au milieu de la Presqu'île guérandaise, entre mer et marais salants. Retraité de l'Éducation nationale, il a su mettre à profit quatre années de correspondant de presse, excellente école d'observation et de concision.
Son héros, Jo Morel, n'est pas bavard mais quand il enquête pour son journal La Vigie rien ne l'arrête. À tel point qu'on l'a baptisé dans la région « le fouille-marais ». -
Alfred Jégado laisse derrière lui un bel héritage et la splendide villa guérandaise des Pierres Blanches. Yolande Belloir, fille de son grand ami, est désignée comme unique légataire à la seule condition qu'elle fasse des Pierres Blanches une agréable résidence qui accueillera des personnes âgées qu'il a lui-même préalablement choisies.
Des retraités soixante-huitards vont donc s'y côtoyer et y refaire le monde. Avec la bénédiction de la propriétaire, ils vont envoyer promener les interdits en réglant quelques comptes sous la signature d'un chat facétieux.
La population s'amuse des exploits de cet anarchiste moustachu jusqu'au jour où le Chat commence à avoir du sang sur les griffes... Qui a dérapé ? Jo Morel, journaliste de La Vigie, va mener l'enquête et resserrer son étau autour du mystérieux Chat sanguinaire...
Roger Coupannec vivait au Pouliguen au milieu de la Presqu'île guérandaise, entre mer et marais salants. Retraité de l'Éducation nationale, il a su mettre à profit quatre années de correspondant de presse, excellente école d'observation et de concision.
Son héros, Jo Morel, n'est pas bavard mais quand il enquête pour son journal La Vigie rien ne l'arrête. À tel point qu'on l'a baptisé dans la région « le fouille-marais ». -
Le scorpion vous veut du bien, refusez son amour et son dard vous sera fatal ! Qu'allait chercher Érika dans cette rave-party clandestine sur l'îlot des Évens, dans la baie du Pouliguen ? Quel secret attirait Margot sur la côte sauvage dans la grotte des Jumelles ? Qu'est-ce qui poussait Marjorie à se risquer sur les rochers accidentés bordant la plage Saint-Michel ? Au coeur de la presqu'île guérandaise, tel un scorpion, un assassin méthodique inocule son venin à de belles jeunes femmes esseulées. Est-ce un rite se référant à la « promenade à deux », la parade nuptiale du scorpion ? En pleine saison touristique, la population a peur. La gendarmerie et la police vont devoir s'allier pour tenter d'enrayer l'hécatombe. La clef de l'énigme se trouve-t-elle dans les faubourgs d'Orléans, sur la plage de La Baule ou sur celle de Cienfuegos à Cuba ? Jo Morel, journaliste à La Vigie, est désorienté, son entourage est victime de faits inquiétants. Qui que soit ce scorpion, son dard doit cesser de tuer !
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Alors que l'été et les touristes sont bien arrivés sur la presqu'île guérandaise, un général retraité renommé est kidnappé. Le mystérieux Tribunal Révolutionnaire Républicain revendique l'enlèvement et menace de tuer l'otage. La population est sous le choc. Le ministre de la Justice dépêche sur les lieux une équipe d'enquêteurs aguerris. Mais enlèvements et exécutions s'enchaînent. Pourquoi ce TRR s'attaque-t-il à un guide spirituel, à un notaire, à un industriel et à un agent immobilier, tous honorablement connus ? Que signifient ces extraits musicaux laissés à proximité des corps ? Plaisanterie macabre ? Signature ? Les forces de l'ordre sont sous tension, le ministre exige que le dossier soit classé sans délai, la population doit retrouver son calme avant les élections toutes proches ! Le journaliste Jo Morel, aidé de son amie la commissaire Laurette Hennecat et de ses collègues du journal La Vigie, va devoir être perspicace et stratège pour réussir à percer le mystère.
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Lors de son jogging quotidien autour des remparts de Guérande, Victor Gomez, journaliste de La Vigie, découvre le cadavre de l'épicier Dominique Abrantès, apprécié de tous. Quatre balles dans la poitrine, une allumette dans chaque oeil, un timbre collé sur le front, un morceau de gâteau dans la bouche et un étrange message composent la mise en scène macabre.
Quatorze jours plus tard, Luigi Cittavecchia, libraire à Pornichet, est retrouvé mort dans des conditions similaires. Il semble malheureusement qu'il ne s'agisse là que des deux premières victimes d'une funeste série...
Journalistes et policiers, menés par l'incontournable Jo Morel et l'obstiné Capitaine Marchadour, s'engagent dans une course contre la montre pour tenter de sauver les prochaines cibles. L'enquête piétine, les indices s'effondrent, à peine nés. L'affolement gagne, agité par un journal peu scrupuleux, tandis que les forces de l'ordre ne cessent de se renvoyer les responsabilités.
Quel message le meurtrier cherche-t-il à faire passer ? Quel est le lien entre ses différentes cibles ? Existe-t-il un rapport entre cette affaire et celle d'un viol présumé, vieille de deux ans, remontée à la surface par le fouille-marais ?
Suspects, cibles, victimes ou coupables ? Le temps leur est compté, mais qui doit-on vraiment sauver ?
Roger Coupannec vivait au Pouliguen au milieu de la Presqu'île guérandaise, entre mer et marais salants. Retraité de l'Éducation nationale, il a su mettre à profit quatre années de correspondant de presse, excellente école d'observation et de concision.
Son héros, Jo Morel, n'est pas bavard mais quand il enquête pour son journal La Vigie rien ne l'arrête. À tel point qu'on l'a baptisé dans la région « le fouille-marais ».