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Myers Benjamin
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Une petite ville post-industrielle au fin fond de la vallée des Pennines en Angleterre, où se côtoient vieilles générations, gardiennes des coutumes, secrets et légendes folkloriques du coin, et jeunes milléniaux post-hippies, adeptes du retour à la nature, venus embrasser un mode de vie alternatif.
Dans une ruelle, on retrouve le corps inanimé d'une femme, la gorge tailladée d'une oreille à l'autre. Qui pouvait en vouloir à Josephine Jenks, ancienne gloire locale du cinéma X? Son passé pathétique et sulfureux ne va pas tarder à aviver la curiosité malsaine des médias. D'autant que son agression n'est que la première d'une longue série... L'automne arrive, les jours s'assombrissent, et bientôt la région tout entière se retrouve en proie à une étrange fièvre collective.
Tony Garner, "l'idiot du village" à la réputation violente, reclus et ostracisé, cible de toutes les moqueries, ferait un coupable idéal. Mais le journaliste Roddy Mace, installé dans une péniche et bien résolu à ne pas se laisser rattraper par ses vieux démons (l'alcool et le stupre), ne croit pas à cette théorie, trop facile. L'inspecteur James Brindle, en retraite forcée depuis le fiasco de sa dernière enquête, est lui aussi persuadé qu'il ne s'agit pas d'un fait divers comme les autres, et que le "serial killer" qui excite et terrorise tout le monde n'est pas celui qu'on croit.
Inspiré d'événements réels qui ont traumatisé le West Yorkshire dans les années 1930, Noir comme le jour sonde avec une remarquable finesse l'esprit de notre époque déroutée, hystérique et paranoïaque.
Traduit de l'anglais par Isabelle Maillet
Benjamin Myers est né à Durham en 1976 et vit aujourd'hui dans la campagne du Yorkshire, dont il a fait le décor de prédilection de ses romans, essais et recueils de poésie. Après Dégradation (Seuil, 2018), lauréat du prix Polars Pourpres Découverte, Noir comme le jour est son deuxième livre traduit en France.
"Creusant le sillon noir des polars horrifiques et ténébreux qu'ont tracé avant lui Robin Cook, John Connelly, Sam Millar ou David Peace, Myers vous prend à la gorge et ne vous lâche plus." - Les Obsédés textuels
Prix Polars Pourpres Découverte 2018 pour Dégradation.
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« Brillant et dévastateur. Absolument captivant. »
The Guardian
Au nord de l’Angleterre, dans la région des lacs, une jeune fille s’enfuit avec un bébé. Ignorante de tout, elle plonge dans une nature sublime et dangereuse ; elle lutte contre la faim, les éléments, les hommes qu’elle croise – l’agriculteur, l’ermite, le chasseur ; elle rêve de traverser les eaux pour gagner une île miraculeuse où elle élèverait l’enfant dans la joie. Mais le prêtre local est chargé de les retrouver. Il engage le braconnier pour l’aider à les traquer. Les vivres s’épuisent, le bébé faiblit, le temps presse. À quoi cherche-t-elle à échapper ? Et surtout, y parviendra-t-elle ?
D’une écriture ciselée, Benjamin Myers crée un univers envoûtant où l’innocence affronte la noirceur humaine dans un duel qui semble joué d’avance. Poétique et viscéral, ce roman est porté par un sens aigu de la beauté. Un conte gothique sur la maternité, la moralité et la perversion qui se lit d’une traite.
Traduit de l’anglais (Grande-Bretagne) par Clément Baude
Benjamin Myers est né à Durham en 1976 et vit aujourd'hui dans la campagne du Yorkshire, dont il a fait le décor de prédilection de ses romans, essais et recueils de poésie. Après Dégradation, lauréat du prix Polars Pourpres Découverte, Noir comme le jour et Au Large, Le Prêtre et le Braconnier est son quatrième livre traduit en France.
Traducteur de l'anglais depuis 2005, Clément Baude travaille en collaboration avec de nombreuses maisons d’édition et traduit des auteurs variés et exigeants tels qu’Ottessa Moshfegh, Attica Locke, R.J. Ellory ou encore Colum McCann. En 2018, la French-American Foundation lui a décerné le Translation Prize 2018 pour sa traduction du livre Le Sympathisant, de Viet Thanh Nguyen. -
Au plus profond de l'hiver, dans la lande rugueuse et désolée du nord de l'Angleterre, une jeune fille disparaît. Deux hommes la recherchent : le détective James Brindle, solitaire, taciturne, obsessionnel, et Roddy Mace, ex-journaliste des tabloïds fuyant son passé de débauche à Londres. Ils ne tardent pas à dénicher le suspect idéal : Steven Rutter, terrifiant personnage, plus proche de la bête sauvage que de l'homme, qui vit retiré dans une ferme isolée et rumine de sombres secrets. Mais il n'est pas le seul, et ce qui s'annonçait comme un banal fait divers va bientôt basculer dans l'horreur, à mesure que Brindle et Mace plongent dans les coulisses insoupçonnées de la vie du hameau.
Benjamin Myers est né à Durham en 1976 et vit aujourd'hui dans la campagne du Yorkshire, dont il a fait le décor de prédilection de ses romans. Ancien journaliste spécialisé en musique, il est l'auteur d'une œuvre déjà conséquente, à paraître aux éditions du Seuil. Dégradation est son premier livre traduit en France.
Traduit de l'anglais par Isabelle Maillet
" Noir, rural, décadent et dépravé.
En contrepoint aux horreurs absolues qu'il décrit dans toute leur violence graphique, Myers donne vie au paysage avec un aplomb lyrique et une maîtrise narrative qui emportent tout. "
Val McDermid, The Guardian
BANDE :
" Âmes sensibles, vous auriez tort de vous abstenir... "
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Au lendemain de la Seconde Guerre mondiale, du haut de ses seize ans, Robert fuit le destin qui l’attend à la mine et s’élance à travers la campagne anglaise avec une seule idée en tête : voir la mer. De ferme en ferme, il échange chaque soir le gîte et le couvert contre de menus travaux, jusqu’à ce que ses pas le mènent au cottage de Dulcie, perdu dans les herbes folles et la vigne vierge. Bohème et indépendante, à l’aube de la cinquantaine, elle y vit seule. Alors que tout les oppose, l’amitié qui naît entre eux modifiera profondément leurs destins. Si Dulcie fait découvrir à Robert la littérature, la gastronomie et un monde d'idées dont il ignorait l’existence, ce dernier l’amène doucement, en exhumant un manuscrit oublié, à affronter les drames de son passé.
Dialogue subtil entre deux classes sociales et deux générations, roman d’apprentissage d’une délicatesse rare, Au large est une ode à la nature, à l’art et à la liberté.
Traduit de l’anglais (Grande-Bretagne) par Madeleine Nasalik
Benjamin Myers est né à Durham en 1976 et vit aujourd'hui dans la campagne du Yorkshire, dont il a fait le décor de prédilection de ses romans, essais et recueils de poésie. Au large est son troisième livre traduit en France.
« Intense et évocateur. » The Observer
« Un livre plein de chaleur et de bonté… Magnifique. » Max Porter
« L'une des voix les plus singulières, émouvantes et cruciales de notre époque. » David Peace