Filtrer
Rayons
Langues
Laura Doyle Pean
-
Deux amoureuses se séparent. Seule dans son appartement, entre les livres et les souvenirs, une jeune femme apprivoise la vie, au fil des jours. Écrit sous forme de journal, Coeur yoyo, tel un rite de passage, est à la fois une traversée de l'amour et du deuil.
-
Moebius. No. 175, 2022
Jennifer Belanger, Laura Doyle Pean, Paola Ouedraogo, Alizee Jean-Louis, Vincent Sylvestre, Luisina Sosa Rey, Laurence P
- Moebius
- 2 Novembre 2022
- 9782924781456
Copiloté par Jennifer Bélanger et Laura Doyle Péan, ce numéro de Moebius propose des textes de fiction et de poésie autour de la citation-thème « Raconter l'histoire jusqu'au bout est un acte d'amour » tirée de Deux ou trois choses dont je suis sûre de Dorothy Allison (traduite de l'anglais par Noémie Grunenwald). « Raconter l'histoire jusqu'au bout, c'est faire entendre les perspectives étouffées. C'est revenir en arrière pour examiner nos angles morts et nos failles, déterrer ce qui a été enfoui, fouiller les braises pour permettre à la mémoire de renaître de ses cendres. » (extrait du liminaire). Lisez Camille Bernier, Sarah Boutin, Christophe Charland, Sarine Demirjian, Denise Desautels, Olivier Gamelin, Alizée Jean-Louis, Danielle-Anne Lemay, Paola Ouédraogo, Annabelle Payant, Laurence Perron, Luisina Sosa Rey et Vincent Sylvestre. Mylène Brunet pense la création, Marie-Célie Agnant poursuit sa résidence d'écriture et Valérie Bah écrit à la personne qui rédigeait les derrières de boîtes de céréales en 1996.
-
Moebius. No. 179, 2023
Laura Doyle Pean, Alex Noel, Marilou Craft, Chloe Savoie-Bernard, Danus, Antoine Beauchamps, Eve Nadeau, Ismaelle Rose C
- Moebius
- 21 Décembre 2023
- 9782924781531
La revue de création littéraire Moebius invite des auteur·rices à écrire en s'inspirant de la citation-thème tirée de femme-rivière de Katherena Vermette (traduction de Rose Després), «Nous pouvons enfin laver nos blessures».
«nous pouvons enfin laver nos blessures». Le verdict tombe comme un soulagement, aussi minime soit-il, dans le recueil femme-rivière de Katherena Vermette. À moins qu'il s'agisse plutôt d'un espoir. Laver n'est pourtant pas guérir. Laver sa blessure est nécessaire pour qu'elle guérisse, pour qu'elle cicatrise. Il faut en retirer la terre et la roche, la rincer. C'est un geste préalable à la guérison. Le point de départ du processus. Combien d'années de poussière s'accumulent dans cet «enfin»? Et surtout, qu'a-t-il été nécessaire de faire pour arriver à les déloger?
Pour laver les blessures, encore faut-il avoir accès aux ressources qui permettent de le faire, à commencer par l'eau. Dans un monde blessé par le colonialisme, les violences étatiques et sexuelles, la crise écologique, trouver un instant de répit pour laver sa blessure ne va pas de soi. Trop souvent nous ne faisons que passer d'une blessure à une autre. Nous ajoutons une fatigue sur une fatigue, un chagrin sur un chagrin, une crise sur une autre.
L'inventaire de nos blessures collectives fut entamé dans le numéro double Depuis la crise(no 168-169, hiver 2021). Les blessures collectives demandent une guérison collective, et nous souhaitons ouvrir ici un espace pour penser ce qui suit, ce qui arrive lorsque nos blessures ne sont pas nettoyées, ce qui arrive à l'eau qui a servi à les laver. Est-ce que le texte la recueille? Quel rôle joue-t-il dans tout cela? Les vers permettent-ils de traverser cette zone grise entre le nettoyage et la cicatrisation, ou viennent-ils ronger les points de suture, gardant à jamais la plaie ouverte? -
11 brefs essais pour la justice climatique
Gabrielle Izaguirre-Falardeau, Laura Doyle Pean, Mara Gabriela Puentes-Benitez, Liliane Urgence, Maitee Labrecque-Sagana
- Éditions Somme toute
- 28 Mai 2024
- 9782897944674
Alors que le monde entre dans une polycrise sans précédent, l'urgence climatique doit être abordée de front. 11 brefs essais pour la justice climatique démontre que la crise du climat est celle de l'immigration, du capitalisme sauvage, des génocides. La révolution sera intersectionnelle ou ne sera pas.
Des forêts sacrées aux ruelles de Montréal, en passant par l'Abitibi-Témiscamingue et par tous les champs de boue et de sable empoisonnés du pays, des voix s'élèvent et des mains se nouent. Les savoirs de différents groupes sont mis en communs, un réseau se tisse pour permettre à l'idée d'un nouveau monde de naître. Les auteurices de ce collectif se retrouvent pour parler de justice, pour haranguer la population, pour l'inviter, ardemment, à les rejoindre. Fortes d'amour et de révolte, les activistes qui signent ce livre refusent d'abandonner le monde aux mains de ceux qui le détruisent. -
Max a onze ans.
Iel aime la natation, les farfalles, ces pâtes en forme de noeud papillon
et les histoires de dragons.
Tous les jours, iel marche jusqu'à son école primaire en saluant ses voisins. Sa routine se voit complètement chamboulée lorsque Max découvre une montagne de déchets en bordure du chemin de l'école.
Qui pourrait bien les avoir jetés là ?
C'est ce que Max et ses ami-es tenteront de découvrir lors de cette première enquête écolo de la confrérie de la friche !