Première et très séduisante collaboration entre Loustal (dessin) et Gtting (scénario), aux couleurs du roman noir.
Jeune provincial d'Auxerre encore jamais « monté » à la capitale, Antoine aborde Paris avec méfiance et appréhension. Mais aussi une détermination inflexible : il n'est venu que pour venger son père, suicidé par la faute d'un certain Robert Mondcamp à en croire en tout cas un courrier adressé par le défunt juste avant qu'il ne se pende.
Antoine s'arrange pour croiser la route de sa cible tant et si bien qu'il va devenir l'un des familiers de Mondcamp, lequel ne tarde pas à le recruter pour l'un de ces nombreux petits boulots à la limite de la légalité qui semblent constituer l'ordinaire de ses activités. Mais au contact du monde interlope de Pigalle et des personnages qui traversent sa nouvelle vie comme Betty, un transsexuel qui se produit dans les boîtes de nuit du quartier, ou Caroline, une jeune femme aux apparences sages mais qui n'hésite pas à poser pour des photos dénudées, et avec laquelle il entretient bientôt une liaison Antoine sent sa résolution faiblir Première collaboration, aux couleurs du roman noir, entre Loustal au dessin et Jean-Claude Gtting au scénario. Une histoire très sombre dans la lignée du Sang des voyous, et un hommage appuyé à l'esprit des polars français de l'après-guerre.
Entre Paris et New York, le magicien Sanderson assoit sa réputation internationale. Ses spectacles se jouent à guichet fermé. Les hommes sont intrigués et les femmes sous le charme. Préparant un numéro d'évasion qui fera de lui l'égal d'Houdini, sa volonté de ne jamais séduire une femme mariée, pour ne pas risquer sa réputation, vacille lorsqu'il rencontre Marie ?
La dernière fois que je vis Maggie Laeger, c'était un lundi matin.
Je passais comme à mon habitude dans la pâtisserie de Monsieur Clarke pour y acheter un muffin que je mangerais sur le chemin du bureau.
Lorsqu'en payant, je lançai « À demain Maggie », elle répondit : « Non... Demain je ne serai plus là. »
Stefan n'était pas avare de sa sueur ni de ses mains.
Tant que la paye tombait en fin de semaine, il était prêt à les plonger dans le cambouis ou dans l'eau sale.
Ou dans n'importe quelle autre merde...
Dans le cadre de la préparation d'un livre sur les grands standards musicaux du XXe siècle, un journaliste rend visite à M. Slatters, auteur de "Happy Living", succès mondial des années cinquante. Ce dernier lui avoue qu'il n'est pas l'auteur de la chanson qui l'a rendu si célèbre. Il charge le journaliste de retrouver le véritable compositeur en échange de l'exclusivité de cette histoire...
Richard n'en peut vraiment plus ! Ses parents, restaurateurs, n'ont qu'une idée en tête : le nourrir. À l'école, on se moque de lui : Richard est gros ! Un jour, Nadine, la fille de ses rêves, l'insulte devant toute la classe ; son père le gifle et sa mère lui confisque son téléscope. Alors, Richard s'échappe vers les étoiles, direction le Futuroscope. Là, deux rencontres vont bouleverser sa vie...
Der Band stellt die Ergebnisse des Forschungsprojektes Die jugendkulturelle Dimension des Salafismus aus der Genderperspektive vor und konzentriert sich dabei auf drei zentrale Forschungsfragen:Inwiefern werden jugendkulturelle Aspekte im Salafismus erfüllt?Welche Ursachen und Faktoren spielen bei dem religisen Radikalisierungsprozess eine Rolle?
Warum fühlen sich Mädchen und junge Frauen einer restriktiven Ideologie zugehrig, die eine strenge Geschlechtertrennung praktiziert?
Das Forschungsprojekt mit einer Laufzeit von 2 Jahren (2017-2019) wurde vom Ministerium für Kultur und Wissenschaft des Landes Nordrhein-Westfalen gefrdert. Die Forschungsergebnisse gehen auf Einzelinterviews sowie Gruppeninterviews mit Jugendlichen beiden Geschlechts im Alter von 14 27 Jahren aus unterschiedlichen Städten NRWs zurück.
Der Inhalt?EinleitungTheoretischer Hintergrund
Das ForschungsprojektErgebnisse der UntersuchungPädagogische Handlungsempfehlungen für Politik und Zivilgesellschaft Die AutorenUmut Akkus, wissenschaftlicher Mitarbeiter und Lehrbeauftragter an der Fachhochschule Dortmund.
Dr. Ahmet Toprak, Professor für Erziehungswissenschaften an der Fachhochschule Dortmund.
Deniz Yilmaz, wissenschaftliche Hilfskraft an der Fachhochschule Dortmund.Vera Gtting, wissenschaftliche Hilfskraft an der Fachhochschule Dortmund.
