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La veille de leur départ en vacances, Françoise et Paul reçoivent une enveloppe qui les interpelle. À l'intérieur, ce couple de sexagénaires découvre une mystérieuse lettre écrite vingt années plus tôt. Ils vont de surprise en surprise avant de se rendre compte que cette lettre ne leur est pas adressée. Il leur serait facile d'aller la déposer dans la boîte aux lettres de son destinataire, un de leur voisin. Seulement voilà, ce dernier s'est suicidé quelques mois plus tôt !
Leurs congés vont dès lors se transformer en une enquête policière mouvementée sur la célèbre Nationale 7.
Françoise, qui se déplace en fauteuil roulant, parviendra-t-elle à résoudre ce « mystère de La Fontaine » tout en profitant de ses vacances en camping-car avec son mari et leur chienne Ginger ?
Et qui est cet étrange homme au chapeau ? -
Invitée au mariage de la petite-cousine de son mari sur l'île de La Réunion, Françoise - qui se déplace en fauteuil roulant - va proposer son aide à Anaïs, inspectrice chargée des enquêtes criminelles, afin de résoudre le mystère des disparitions de personnes fortunées qui font craindre aux habitants le retour de « Grand-mère Kalle ».
Françoise et Paul, son mari, vont dès lors partager leurs vacances entre la visite des endroits emblématiques de La Réunion et une enquête complexe, dépourvue d'indices. -
Maïdo est le prénom d'une chienne golden retriever.
De sa gestation jusqu'à l'âge adulte, venez découvrir ce qu'elle pense, ce qu'elle ressent car oui, c'est bien Maïdo que s'exprime dans ce roman.
Maïdo est drôle, gentille, jouette, maladroite, amoureuse de ses maîtres (surtout de son papa) et fière d'être la marraine de la fille de ceux-ci.
Elle aime jouer, manger, nager, les balades et bien sûr les vacances.
De petits bobos en grands bonheurs, plongez dans son quotidien et écoutez-la s'exprimer :
Durant l'après-midi, alors que nous étions tous endormis, un homme que je n'avais jamais vu est venu nous triturer dans tous les sens.
Eh là-bas, ai-je envie de lui dire ! On ne touche pas à mon beau corps, compris ?
Mais il n'en a cure. Pire encore, avec un engin de torture, il ose introduire sous ma peau un corps étranger. Non, mais. En voilà des manières !
Si un jour j'ai des puces, je demanderai qu'on commence par m'enlever celle-là !
Il a eu beau s'excuser en me donnant un bisou avant de me reposer par terre, le mal était fait.
Je ne savais pas encore qu'il reviendrait une autre fois pour m'inoculer des vaccins...